Messages pour Savidan
- Guigui
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Toi aussi amuse-toi.
http://www.unpeudamour.com/poemes/acro.php
(Faut pas déconner, j'suis pas un pédé)
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(Faut pas déconner, j'suis pas un pédé)
Berrichonne, ma cochonne, on te tamponne !
Ah! Que le temps est long sans toi
La vie sans toi peut me tuer
Longue est la route loin de toi,
Etourdis par l'odeur des blés
Zéro souci, mille jouissances!
Tu es l'oeuvre et moi le brouillon
Où commence la décadence?
Une naturelle addition!
S'il te plait, dis-moi que tu m'aimes,
Viens me serrer, te fondre en moi,
Où pourrai-je enfin t'embrasser?
Unique perle sous mes doigts
Soleil d'hiver et pluie d'été
Femme, homme, s'aiment sans différence
Artistes en pleine création
Imagine mon coeur en transe
Reste avec moi, ô mon chaton!
Et maintenant, embrasse-moi!
Entends-tu, je perds mon sang froid!
Ne sens-tu pas que tu me plais?
Crions au monde notre joie
Un mélange sucré-salé
L'amour pour toi s'appelle Immense
Effaçons les ponctuations!
Rayonne sans condescendance
La vie sans toi peut me tuer
Longue est la route loin de toi,
Etourdis par l'odeur des blés
Zéro souci, mille jouissances!
Tu es l'oeuvre et moi le brouillon
Où commence la décadence?
Une naturelle addition!
S'il te plait, dis-moi que tu m'aimes,
Viens me serrer, te fondre en moi,
Où pourrai-je enfin t'embrasser?
Unique perle sous mes doigts
Soleil d'hiver et pluie d'été
Femme, homme, s'aiment sans différence
Artistes en pleine création
Imagine mon coeur en transe
Reste avec moi, ô mon chaton!
Et maintenant, embrasse-moi!
Entends-tu, je perds mon sang froid!
Ne sens-tu pas que tu me plais?
Crions au monde notre joie
Un mélange sucré-salé
L'amour pour toi s'appelle Immense
Effaçons les ponctuations!
Rayonne sans condescendance
ampli-reglage de la vis de tension de surface de la grille d'une anode comme la phase bias, obligé en tension tout autant que comme mécaniques de transport-déroulement de bande
Non je n'effacerai pas, oui je ne suis bon qu'a plagier Ajacques ...
Ah! Que le temps est long sans toi
La vie sans toi peut me tuer
Longue est la route loin de toi,
Etourdis par l'odeur des blés
Zéro souci, mille jouissances!
Tu es l'oeuvre et moi le brouillon
Où commence la décadence?
Une naturelle addition!
S'il te plait, dis-moi que tu m'aimes, Alleztous!
Viens me serrer, te fondre en moi,
Où pourrai-je enfin t'embrasser?
Unique perle sous mes doigts
Soleil d'hiver et pluie d'été
Femme, homme, s'aiment sans différence
Artistes en pleine création
Imagine mon coeur en transe
Reste avec moi, ô mon chaton!
Et maintenant, Vousfaire, embrasse-moi!
Entends-tu, je perds mon sang froid!
Ne sens-tu pas que tu me plais?
Crions au monde notre joie
Un mélange sucré-salé
L'amour pour toi s'appelle Immense
Effaçons les ponctuations!
Rayonne sans condescendance
Ah! Que le temps est long sans toi
La vie sans toi peut me tuer
Longue est la route loin de toi,
Etourdis par l'odeur des blés
Zéro souci, mille jouissances!
Tu es l'oeuvre et moi le brouillon
Où commence la décadence?
Une naturelle addition!
S'il te plait, dis-moi que tu m'aimes, Alleztous!
Viens me serrer, te fondre en moi,
Où pourrai-je enfin t'embrasser?
Unique perle sous mes doigts
Soleil d'hiver et pluie d'été
Femme, homme, s'aiment sans différence
Artistes en pleine création
Imagine mon coeur en transe
Reste avec moi, ô mon chaton!
Et maintenant, Vousfaire, embrasse-moi!
Entends-tu, je perds mon sang froid!
Ne sens-tu pas que tu me plais?
Crions au monde notre joie
Un mélange sucré-salé
L'amour pour toi s'appelle Immense
Effaçons les ponctuations!
Rayonne sans condescendance
Modifié en dernier par Magenta le 17 juil. 2008 13:56, modifié 2 fois.
Grâce! Je t'aime! Ne t'en vas pas!
La vie sans toi peut me tuer
Amour, amour, et-caetera...
Nacrons nos lèvres épicées
Drapés d'un voile d'indécence
Prends ma main qui tremble pour toi
Inouï comme je peux t'aimer!
Ne vois-tu pas que je suis là?
Etourdis par l'odeur des blés
Viens me serrer, te fondre en moi,
Un soleil ne peut t'éclipser
Longue est la route loin de toi,
Volons jusqu'à l'éternité
Eveil soudain de tous mes sens
Prends ma main qui tremble pour toi
Entends-tu mon coeur t'appeler?
Ton absence m'emplit d'effroi...
Folle passion, ardent émoi
Où pourrai-je enfin t'embrasser?
Incandescent, le ciel me boit
Restons ensemble à tout jamais
Eveil soudain de tous mes sens
Un amour sans abréviation
X comme un film sans bienséance
Doux rêve celui de ta voix
Inouï comme je peux t'aimer!
Ô mon amour, ne me laisse pas!
Grisés d'un éther épuré
Eveil soudain de tous mes sens
Ne nous posons pas de questions
Embrasse-moi, c'est une urgence!
Chatte
La vie sans toi peut me tuer
Amour, amour, et-caetera...
Nacrons nos lèvres épicées
Drapés d'un voile d'indécence
Prends ma main qui tremble pour toi
Inouï comme je peux t'aimer!
Ne vois-tu pas que je suis là?
Etourdis par l'odeur des blés
Viens me serrer, te fondre en moi,
Un soleil ne peut t'éclipser
Longue est la route loin de toi,
Volons jusqu'à l'éternité
Eveil soudain de tous mes sens
Prends ma main qui tremble pour toi
Entends-tu mon coeur t'appeler?
Ton absence m'emplit d'effroi...
Folle passion, ardent émoi
Où pourrai-je enfin t'embrasser?
Incandescent, le ciel me boit
Restons ensemble à tout jamais
Eveil soudain de tous mes sens
Un amour sans abréviation
X comme un film sans bienséance
Doux rêve celui de ta voix
Inouï comme je peux t'aimer!
Ô mon amour, ne me laisse pas!
Grisés d'un éther épuré
Eveil soudain de tous mes sens
Ne nous posons pas de questions
Embrasse-moi, c'est une urgence!
Chatte
Tes jambes sont encore dans mes yeux
Je volais sur ce nuage au gros caca si pur
Mais une fille, grosse merde, vint m'émouvoir à l'extrême,
Deux yeux de merde, d'une beauté sans mesure,
Des cheveux de pédé, presque un diadème,
Vinrent sans prévenir m'attendrir
Me faisant même toucher le ciel,
Comme un petit pédé dans son sourire
Sifflant un songe presque réel.
Cet oiseau fou, Ma p'tite chatte chérie, c'est moi.
Et cette grosse chatte de déesse, qui épouse la beauté,
Tu le sais, t'es baisable, je le vois.
Dans ta main je veux m'embraser.
Ta mère la pute qui suce dans les catacombes, poète à ses heures perdues.
Le pire, c'est que j'ai rigolé, et que je rigole encore en lisant.
Je volais sur ce nuage au gros caca si pur
Mais une fille, grosse merde, vint m'émouvoir à l'extrême,
Deux yeux de merde, d'une beauté sans mesure,
Des cheveux de pédé, presque un diadème,
Vinrent sans prévenir m'attendrir
Me faisant même toucher le ciel,
Comme un petit pédé dans son sourire
Sifflant un songe presque réel.
Cet oiseau fou, Ma p'tite chatte chérie, c'est moi.
Et cette grosse chatte de déesse, qui épouse la beauté,
Tu le sais, t'es baisable, je le vois.
Dans ta main je veux m'embraser.
Ta mère la pute qui suce dans les catacombes, poète à ses heures perdues.
Le pire, c'est que j'ai rigolé, et que je rigole encore en lisant.
- Guigui
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Sourire d'ange
Je vivais dans un monde à la pisse obscur
Mais une fille, vaginalement crade, vint troubler mes poèmes,
Deux yeux couleur caca, dignes d'une peinture,
Des cheveux de fille de pute, comme je les aime,
Vinrent tous ensembles m'éblouir
Me faisant même pousser des ailes,
Moi, pédé dont le coeur chavire,
Partant rejoindre les hirondelles.
L'oiseau ardent, Fatima, c'est moi
Et ce marron dans son cul, fille de clarté,
C'est toi, salope, c'est toi...
Laisse-moi à ton âme m'abandonner.
Morsay de Truand 2 la Galère, petit comique au grand coeur
Je vivais dans un monde à la pisse obscur
Mais une fille, vaginalement crade, vint troubler mes poèmes,
Deux yeux couleur caca, dignes d'une peinture,
Des cheveux de fille de pute, comme je les aime,
Vinrent tous ensembles m'éblouir
Me faisant même pousser des ailes,
Moi, pédé dont le coeur chavire,
Partant rejoindre les hirondelles.
L'oiseau ardent, Fatima, c'est moi
Et ce marron dans son cul, fille de clarté,
C'est toi, salope, c'est toi...
Laisse-moi à ton âme m'abandonner.
Morsay de Truand 2 la Galère, petit comique au grand coeur
Berrichonne, ma cochonne, on te tamponne !