mais comme d'hab, dès que tu n'as plus rien a dire, à débattre et que tu t'enlises dans tes arguments de réac. tu cherches le troll , c'est ta parade personnelle , le troll
encore un scandale et le système réclame de la chair à robot pour les enrichir
Je vais sortir ce soir, ce soir Jusqu'au petit matin, matin Pas de boulot pour moi, pour moi Je dormirai demain, demain matin Je sirote un cocktail, un cocktail En écoutant du rock, rock rock Je parle a une fille, belle fille Mais j'ai l'estomac vide, oui tellement vide
La crise économique : c'est fantastique, La décadence : c'est la bonne ambiance
Je vais sortir ce soir, ce soir En écoutant du rock, be bop a lula Pas de boulot pour moi, pour moi Je sirote un cocktail
Je parle à une fille, une fille Jusqu'au petit matin, petit matin Je dormirai demain, demain Mais j'ai l'estomac vide oui tellement vide
Regarde un peu ce look, Ecoute un peu ce son,
Ce soir au Tchad, on crève Mais je m'achète le walkman de mes rêves Haha haha haha
Ce soir au Tchad, on crève Mais je m'achète le walkman de mes rêves
La crise économique : c'est fantastique, La décadence : c'est la bonne ambiance … La crise économique : c'est fantastique, La décadence : c'est la bonne ambiance
Je vais sortir ce soir, ce soir En écoutant du rock, be bop a lula Pas de boulot pour moi, pour moi Je sirote un cocktail
Je parle à une fille, une fille Jusqu'au petit matin, petit matin Je dormirai demain, demain Mais j'ai l'estomac vide, oui tellement vide
Regarde un peu ce look, Ecoute un peu ce son,
Ce soir au Tchad, on crève Mais je m'achète le walkman de mes rêves Haha haha haha
Ce soir au Tchad, on crève Mais je m'achète le walkman de mes rêves
La crise économique : c'est fantastique, La décadence : c'est la bonne ambiance
Comme dirait l’autre, « ça durera ce que ça durera » mais comme disait ma grand-mère, « ce qui est pris n’est plus à prendre ».
L'édito de la semaine : "Défendre les actionnaires"
Cette semaine la parole est donnée à Marc Fiorentino, président d'Euroland Finance.
En France, on avait déjà l’habitude de ne voir les entrepreneurs que comme des « patrons » et de faire un raccourci malheureux entre patrons, grands patrons et patrons voyous. Mais voilà qu’aujourd’hui ce sont les actionnaires qui se retrouvent au banc des accusés. Des actionnaires rincés, broyés, pillés et ruinés. Quand Philippe Marini a suggéré, suggéré seulement, de permettre de déduire une partie, très limitée, des pertes boursières des actionnaires, une campagne d’une violence sans précédents s’est déclenchée. « Une mesure immorale » a-t-on entendu ! Et le plus étonnant, c’est que les critiques ne sont pas venues seulement de la gauche et de l’extrême gauche, mais surtout des nouveaux convertis de droite, de plus en plus nombreux, à l’anticapitalisme. Les temps changent. L’Etat n’a plus besoin des actionnaires aujourd’hui. Il ne peut pas pour l’instant mettre la Poste en Bourse (cela ferait mauvais effet, parait il...). Il n’a pas de blocs d’actions à vendre comme il l’avait fait avec Renault car les cours sont trop bas. Alors, il n’a plus aucun intérêt à aider les actionnaires. Il vaut mieux même les vilipender pour faire « social » avec un raccourci qui fait des petits actionnaires détenteurs d’un PEA les suppôts du capitalisme de marché responsables de la crise financière. Les entrepreneurs sont des patrons voyous et les petits actionnaires des complices des fonds spéculatifs, des hedge funds, assoiffés de profits. On croit rêver ! Ou, le mot serait plus juste, quel cauchemar ! Faut il rappeler que l’écrasante majorité des actionnaires sont des petits actionnaires ? Que c’est l’Etat lui-même qui a fait venir des millions d’actionnaires en Bourse quand il avait besoin de privatiser les entreprises nationales ? Tout le monde a d’ailleurs applaudi il n’y a pas si longtemps quand EDF avait attiré prés de 3 millions d’actionnaires... Qu’en période de fuite des banques, la Bourse est le dernier moyen de financer le développement des entreprises de croissance ? Qu’un petit actionnaire qui a, souvent sous la contrainte amicale de son agence locale, mis du Natixis dans son portefeuille et perdu 90% de son argent n’est pas George Soros ? Faut il également rappeler que dans quelques mois ou quelques années, l’Etat aura besoin de céder à nouveau des participations pour financer ses déficits et limiter une explosion de la dette de plus en plus insoutenable... Et il viendra refaire les yeux doux à ceux qui sont aujourd’hui laissés pour compte. Il aura également besoin de relancer l’actionnariat salarié quand il voudra contrôler la hausse des coûts salariaux.
Sans entrepreneurs et sans actionnaires il n’y a pas d’économie. La France a besoin de ses actionnaires et elle manque d’actionnaires. Il est de notre devoir de défendre les petits actionnaires qui eux ne descendent pas dans les rues et ne perturbent pas l’ordre public quand ils veulent obtenir gain de cause. Il faut prévoir des mesures de soutien aux actionnaires pour inciter les épargnants à venir ou revenir vers la Bourse. Un petit actionnaire n’est pas un spéculateur et il faut arrêter de le prendre pour un pigeon...
Si jamais ce message devait être copié/collé un jour sur un autre forum, je déclare que j'ai été victime d'une usurpation d'identité et que c'est pas moi.
La banque centrale américaine va au delà de ce que prévoyaient les économistes qui tablaient dans leur majorité sur un baisse de 0,50 point du taux directeur, qui était fixé à 1,0% depuis le mois d'octobre.
"La Réserve fédérale va employer tous les moyens à sa disposition pour promouvoir le retour d'une croissance économique durable et pour maintenir la stabilité des prix", écrit le Comité de politique monétaire de la banque centrale dans le communiqué final de sa réunion de deux jours.
La Fed n'avait jamais abaissé son taux directeur à un tel niveau: le taux de 1%, appliqué depuis octobre, ainsi que de juin 2003 à juin 2004, était déjà le plus bas jamais appliqué par la banque centrale américaine.
A côté de sa politique de taux classique, la Fed indique qu'elle compte "stimuler l'économie par des opérations de marché ouvert et d'autres mesures qui maintiennent son total de bilan à un niveau élevé".
Elle compte ainsi "acheter en grande quantité des titres de dette [fédérale américaine] et des titres adossés à des crédits immobiliers et soutenir le marché du crédit hypothécaire et de l'immobilier", ajoute le communiqué.
La Fed dit évaluer également la possibilité d'acheter des bons du Trésor à long terme.
La baisse de taux de la Fed est la dixième décidée par le Comité de politique monétaire (FOMC) de la banque centrale américaine depuis l'éclatement de la crise des crédits immobiliers à risque à l'été 2007.
La Fed a également décidé d'abaisser son taux d'escompte à 0,75 point à 0,25% et prévient que le maintien de son taux directeur à un niveau "exceptionnellement bas" pourrait durer "un certain temps".
Les décisions de mardi ont été adoptées à l'unanimité des membres votant du FOMC