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C'est compliqué les bonnes femmes.

A priori, elle est bien soutenue et pas seulement par des joueuses de l'O.L. ou écartées par Diacre. C'est clairement " entre Diacre et moi il faut choisir ". Je crois qu'elle a donné quelqies éléments d'explication qui ne figurent pas dans sa déclaration.

Le topic " inactif " depuis presque 17 ans
Les charmes du forum

Ahem.

Tweet: https://twitter.com/kady944/status/1629156943007739910

Tweet: https://twitter.com/MarieKatoto/status/1629156939027345408

Le groupe vit bien

Je les comprends, elles ont sûrement besoin d'un peu plus de temps pour les courses, la cuisine et le ménage chez elles.

18cher a écrit :Le topic " inactif " depuis presque 17 ans
Les charmes du forum

C'est juste parce que cette info aurait pu probablement être mise ailleurs.

Xavi Jacob a écrit :Je les comprends, elles ont sûrement besoin d'un peu plus de temps pour les courses, la cuisine et le ménage chez elles.

Et elle dit quoi, Eugénie Le Sommer ?

La même chose qu'Amandine Henry.

Et moi je vous dis que ma petite Ardéchoise aura t' elle la chance d' être sélectionneuse???

Ta fille sélectionneuse ? Tu ne vas pas un peu vite en besogne ?

bigdudu a écrit :Ta fille sélectionneuse ? Tu ne vas pas un peu vite en besogne ?

NON, la fille dont je parle , je l'ai vu s'entrainer à Boulieu, moi je jouais là bas ensuite elle est partit à Félines puis Juvisy ...
Et quellle carrière en EDF !

D'ailleurs, l'équipe "une" de l'EDF prit une plus grosse rouste que la B. Mais attention, il faut bien replacer ça dans le contexte d'une "guerre" désormais ouverte entre les différentes fédérations concurrentes, notamment l'USFSA et le CFI, l'USFSA étant exclue de la FIFA en 1908 (d'où de nombreux forfaits). La FFFA, quant à elle, qui fusionnera tout ça naît seulement en 1919...
C'est ce qui explique principalement la plus grosse déroute de l'histoire de l'EdF.
Dans la compo de ce match, outre Schubart, nous avions également relevé la présence de l'attaquant René Fenouillère (dont le stade d'Avranches porte le nom), qui fut coéquipier de Pierre Chayriguès et d'Eugène Maës au Red Star juste avant la Première Guerre mondiale, qui faucha nombre de ces joueurs de foot (à l'instar d'Eugène Le Somptier, le premier capitaine de l'histoire du Stade Malherbe et de Fenoullière lui-même). Fenouillère aurait furtivement porté le brassard du FC Barcelone en 1904, après être passé par l'Espanyol.