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Moriarty a écrit :Tu as le droit si tu es baptisé.

A condition d'être également évêque ce que Guigui n'est pas à ma connaissance.

Molko a écrit :

M.O.P a écrit :

Tom24 a écrit :C'était pas assez le bordel dans le monde... Maintenant, place à la séquence hautement politique de son remplacement...

Musk doit être prêt à dégainer le portefeuille

Ça fait plusieurs années que la puissante frange MAGA des catholiques américains prépare le prochain conclave pour favoriser leurs idées lors du prochain pontificat. Ils sont prêts.

J'aimerais croire qu'ils ne sont pas très populaires à Rome, et que là bas l'influence se construit sur un temps beaucoup plus long que quelques années.

Apparemment le favori est un cardinal progressiste philippin, Luis Antonio Tagle.

La stratégie mise en place est beaucoup plus américaine ; ils ont identifié depuis sept ou huit ans les "trop progressistes" crédibles et ont enquêté sur eux dans l'espoir de trouver dans leurs passés des éléments rendant leur élection impossible. On ignore ce qu'ils ont, mais c'est une stratégie finalement très ancienne à Rome et plusieurs pays dans le passé dont la France n'ont pas procédé autrement (sauf que nous on a arrêté avec le XIXe siècle).

Hastings a écrit :Apparemment le favori est un cardinal progressiste philippin, Luis Antonio Tagle.

Alors lui je le déteste, vraiment j'aime pas Tagle.

Qu'est-ce qu'il a mais qu'est-ce qu'il a Tagle ?

Moi je suis pour Gerd Müller ou da Rocha. Sinon Avaline a l'air pas trop mal. Mais il s'appellerait Eudeline ce serait mieux.

Guigui a écrit :

Hastings a écrit :Apparemment le favori est un cardinal progressiste philippin, Luis Antonio Tagle.

Alors lui je le déteste, vraiment j'aime pas Tagle.

bigdudu a écrit :

Moriarty a écrit :Tu as le droit si tu es baptisé.

A condition d'être également évêque ce que Guigui n'est pas à ma connaissance.

Ah bon, il faut être évêque ? Canoniquement, être un homme baptisé suffit, même pas besoin d'être prêtre.
C'est dans les faits que les cardinaux élisent l'un d'entre eux, mais ça vaudrait le coup de faire une exception pour élire Guigui.

Ce serait grandiose :

Une fois la majorité des deux tiers atteinte, le doyen du collège des cardinaux s'approche de Guigui et lui demande "Acceptasne electionem de te canonice factam in Summum Pontificem ? ». Guigui, jusque là tête baissée, comme plongé dans une profonde méditation, saisi de l'immensité qui vient de le saisir, de la lourdeur de la tâche à venir, lève les yeux vers la fresque de Michel-Ange, puis d'un regard clair, direct et assuré répond "Accepto". Autour de lui, les cardinaux s'agenouillent, seul se dresse encore, entre Guigui, l'élu, et la Croix représentant la passion, le Christ et toutes ces choses, le doyen. Seul encore debout, il demande "Quo nomine vis vocari ?". Alors que le regard de Guigui repart vers la fresque, se promène sur l'oeuvre intemporelle, parcours les couleurs, vives depuis leur restauration et s'attarde sur un détail du manteau bleu de la Vierge, soutenue par un angelot dans un drapé rouge vif, Guigui répond "Malherbus Primi. Je m'appellerai désormais Malherbe, premier du nom parmi les successeur de Pierre".

Et le nouveau pape, qui souhaite innover, refuse le traditionnel habit papal pour sa première apparition et donne ses premières instructions, le cardinal protodiacre, déjà sur le balcon, face la foule, marque un temps d'arrêt, puis prononce les paroles que chacun attend. Annuntio vobis gaudium magnum qu'il dit, puis, après un nouveau silence, habemus papam. La foule acclame, chante "dans la ville aux cent clochers. Le protodiacre reprend, Eminentissimum ac reverendissimum dominum, dominum Guiguius, Sanctae Romanae Ecclesiae Du Forum, qui sibi nomen imposuit Malherbus.

Et il s'efface, alors que derrière lui, s'avance gravement le nouveau pape Malherbe, premier du nom dans le nouvel habit qu'il s'est choisit pour se présenter au monde, une soutane ciel et marine, comme symbole de l'ouverture et de l'oeucuménisme. Nous sommes tous frères, dit-il, d'où cette tenue. Nous sommes tous frère, sauf cette pute de Ziad Hammoud. Aimez-moi comme je m'aime et tout ira bien.

Molko

J'ai eu la vision ! Pendant le conclave, le cardial Orton demande qui se porte volontaire pour le poste de Pape. Un silence puis la porte s'ouvre, la musique se lance (giga pop dans le conclave) et là Guigui de dos se retourne

Toi tu me connais Serhat, j'ai regardé cette entrée 29048 fois ces trois derniers jours en m'imaginant à sa place.

Oh non pas Tony Vairelles.