Premier entraîneur licencié en L1 ?
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Quant à jean Fernandez, je ne vois pas trop pourquoi il figure dans ce sondage...
Qualifié en UEFA, 7ème en Ligue 1 à 3 points du 2ème après un départ difficile dû essentiellement à l'intertoto.
Recrutement pour une fois plutôt judicieux : Ribéry, Oruma, niang voire même Lamouchi, Cana et Taiwo.
Bref, avec peu de moyens, l'OM fut aussi bien voire mieux que certaines saisons où l'argent coulait à flot.
Qualifié en UEFA, 7ème en Ligue 1 à 3 points du 2ème après un départ difficile dû essentiellement à l'intertoto.
Recrutement pour une fois plutôt judicieux : Ribéry, Oruma, niang voire même Lamouchi, Cana et Taiwo.
Bref, avec peu de moyens, l'OM fut aussi bien voire mieux que certaines saisons où l'argent coulait à flot.
- Martin - Webmaster
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Pour revenir sur ce que je disais à propos de Muller, il avait incité les entraîneurs lors de la 1ère journée de L1 à porter un t-shirt mentionnant "respecter l'entraîneur, respecter l'homme". Ce mouvement n'a été suivi que par 4 entraîneurs en L1.
Le problème pour la LFP : la présence du logo UNECATEF sur le t-shirt.
"En refusant dans un premier temps d'occulter la mention UNECATEF, malgré les observations des délégués, et les mises en garde du président de la LFP, M.Muller a été a l'origine d'un incident largement médiatisé".
Sanction : 1 match de suspension avec sursis pour Muller.
"Il n'est pas souhaitable que les enceintes sportives deviennent un lieu de revendications syndicales"
Comme le souligne Jamel Attal dans sa chronique, les enceintes sportives sont quand même le lieu de travail des entraîneurs. Donc en gros : non aux syndicats. C'est beau, non ?
(Source : La thatchérisation du football, cahiers du football N°18, p.15)
Le problème pour la LFP : la présence du logo UNECATEF sur le t-shirt.
"En refusant dans un premier temps d'occulter la mention UNECATEF, malgré les observations des délégués, et les mises en garde du président de la LFP, M.Muller a été a l'origine d'un incident largement médiatisé".
Sanction : 1 match de suspension avec sursis pour Muller.
"Il n'est pas souhaitable que les enceintes sportives deviennent un lieu de revendications syndicales"
Comme le souligne Jamel Attal dans sa chronique, les enceintes sportives sont quand même le lieu de travail des entraîneurs. Donc en gros : non aux syndicats. C'est beau, non ?
(Source : La thatchérisation du football, cahiers du football N°18, p.15)
Dans la série : comment mettre son entraîneur dans les meilleures dispositions ?
L'équipe du jour... et la solution du PSG :
"Moins de vingt-quatre heures après l'interview accordée par Pierre Blayau au Parisien, l'avenir de Laurent Fournier sur le banc du PSG semble au cours des discussions. Que ce soit dans les colonnes du Parisien, toujours, ou dans celles du quotidien L'Equipe, des noms circulent déjà pour remplacer l'entraîneur du club de la capitale : ceux de Paul Le Guen, Didier Deschamps, Guy Lacombe - qui a déjà rencontré le président du PSG - et dans une moindre mesure Raynald Denoueix.
«Quand la stabilité rime parfois, je dis bien parfois, avec médiocrité, ce n'est pas une bonne chose», déclarait le président Pierre Blayau au Parisien, dimanche. Concernant le changement d'entraîneur, il avouait qu'il fallait «se poser la question tous ensemble». «Il manque à cette équipe de la constance dans son jeu pour lui permettre d'envisager de finir à la deuxième place. Aujourd'hui, je tire la sonnette d'alarme.» Ces déclarations ont ainsi suffi à mettre le feu au poudre.
Le principal reproche fait par le président parisien serait le manque de réussite de l'équipe face aux ténors du Championnat, que ce soit à Marseille (0-1), à Lyon (0-2), à Auxerre (0-2), ou encore face à Monaco (0-0) et Lens (3-4). La défaite la plus significative à ses yeux serait celle encaissée à Saint-Etienne (0-3). La victoire à Bordeaux (2-0) n'a pas suffi à effacer ses doutes, Paris ne se montre finalement à son avantage que face aux "petits".
Laurent Fournier se verrait également reprocher des choix de joueurs ou de postes discutables qui rendent le collectif peu fiable, un discours répétitif sur la concentration ou encore la détermination, mais aussi une tendance à répéter trop souvent un «la saison dernière, c'était pire à pareil époque» qui a fini par lasser son président. M. Blayau douterait enfin de l'aptitude du coach à supporter la pression et à imposer son autorité.
Pour le moment le principal intéressé mise sur les seuls résultats - 30 points en 18 journées - et estime surtout avoir «la conscience tranquille». Pourtant, son avenir au sein du PSG pourrait être rapidement scellé. Certains parlent déjà d'une mise à l'écart durant la trève."
L'équipe du jour... et la solution du PSG :
"Moins de vingt-quatre heures après l'interview accordée par Pierre Blayau au Parisien, l'avenir de Laurent Fournier sur le banc du PSG semble au cours des discussions. Que ce soit dans les colonnes du Parisien, toujours, ou dans celles du quotidien L'Equipe, des noms circulent déjà pour remplacer l'entraîneur du club de la capitale : ceux de Paul Le Guen, Didier Deschamps, Guy Lacombe - qui a déjà rencontré le président du PSG - et dans une moindre mesure Raynald Denoueix.
«Quand la stabilité rime parfois, je dis bien parfois, avec médiocrité, ce n'est pas une bonne chose», déclarait le président Pierre Blayau au Parisien, dimanche. Concernant le changement d'entraîneur, il avouait qu'il fallait «se poser la question tous ensemble». «Il manque à cette équipe de la constance dans son jeu pour lui permettre d'envisager de finir à la deuxième place. Aujourd'hui, je tire la sonnette d'alarme.» Ces déclarations ont ainsi suffi à mettre le feu au poudre.
Le principal reproche fait par le président parisien serait le manque de réussite de l'équipe face aux ténors du Championnat, que ce soit à Marseille (0-1), à Lyon (0-2), à Auxerre (0-2), ou encore face à Monaco (0-0) et Lens (3-4). La défaite la plus significative à ses yeux serait celle encaissée à Saint-Etienne (0-3). La victoire à Bordeaux (2-0) n'a pas suffi à effacer ses doutes, Paris ne se montre finalement à son avantage que face aux "petits".
Laurent Fournier se verrait également reprocher des choix de joueurs ou de postes discutables qui rendent le collectif peu fiable, un discours répétitif sur la concentration ou encore la détermination, mais aussi une tendance à répéter trop souvent un «la saison dernière, c'était pire à pareil époque» qui a fini par lasser son président. M. Blayau douterait enfin de l'aptitude du coach à supporter la pression et à imposer son autorité.
Pour le moment le principal intéressé mise sur les seuls résultats - 30 points en 18 journées - et estime surtout avoir «la conscience tranquille». Pourtant, son avenir au sein du PSG pourrait être rapidement scellé. Certains parlent déjà d'une mise à l'écart durant la trève."
Allez Malherbe... Simple, clair et consensuel !
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pascal francois
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Re: Premier entraîneur licencié en L1 ?
Pour cette nouvelle saison, je vote Kombouaré
Re: Premier entraîneur licencié en L1 ?
Ouais, pas mieux.
I never forget a number. Names? In one ear and out the other. Places? Nope. Faces? That's rich. But, numbers? I have a gift. I guess that's why I'm an accountant.