
Le Kikapinçà ?
- François de Malherbe
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bigdudu a écrit :Mais je n'arrive pas à trouver cette énigmatique dame en robe bleue dont la posture semble moderne mais la facture (du tableau) ancienne ...
Tu pourrais au moins lire tes camarades pochtrons.
Sinon, j'apprends que John Everett Millais était plus ou moins Jersiais. Le scandale.
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- bigdudu
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un ultr4 a écrit :bigdudu a écrit :Mais je n'arrive pas à trouver cette énigmatique dame en robe bleue dont la posture semble moderne mais la facture (du tableau) ancienne ...
Tu pourrais au moins lire tes camarades pochtrons.
Sinon, j'apprends que John Everett Millais était plus ou moins Jersiais. Le scandale.
Oh mais tant qu'il n'y a pas confirmation je ne prête guère attention aux propositions plus ou moins farfelues. C'est vrai qu'a priori, les tiennes ne le sont pas toujours. En plus, tu as trouvé pendant que je préparais mon message donc je ne risquais pas de lire ta réponse. Et puis, elles ne sont pas jolies mes images ?
- François de Malherbe
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bigdudu a écrit :Roman Opalka ?
Je suis sûr que c'est lui !
Bien ouéj Big !
Opalka est un charlot (pas de doute la d'ssus), mais sa discipline force le respect.
Roman Opalka est un artiste que l'on pourrait caractériser de protocolaire. En effet, depuis 1965, il peint des lignes de nombres sur une toile. Ses nombres sont en blanc sur fond noir, il commence par peindre du coin supérieur gauche jusqu'au coin inférieur droit. Partant de 1 en 1965, il a atteint en 1972 le nombre 1 000 000.
À partir de cette date, il décide d'éclaircir d'ajouter 1% de blanc au fond de chaque toile qu'il appelle « Détail ». Chaque détail s'éclaircit donc progressivement, jusqu'à ce que chaque Détail soit de nos jours presque blanc. Chaque « Détail » est une toile de 196 x 135 cm, les chiffres sont réalisés avec un pinceau n°0. Lors de la réalisation de chaque Détail, il énumère la suite de nombres qu'il peint. Cette énumération est enregistrée à l'aide d'un magnétophone.
Aussi, pour bien marquer le temps qui passe, lorsqu'il termine une séance de travail, il prend une photographie de lui-même dans des conditions invariablement identiques d'une photo à l'autre : fond blanc (en fait le « Détail » en cours), avec une chemise blanche, baignant dans un éclairage blanc, avec toujours la même expression sur le visage.
Modifié en dernier par un ultr4 le 17 janv. 2009 22:38, modifié 2 fois.
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- François de Malherbe
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