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- jesperolsen
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- Simply the Best
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Jesper,
Quitte à me répéter pour la 1000ème fois, je ne suis pas pour la baisse des impôts... en tous cas pas celle effectuée par la droite depuis 5 ans.
Concernant les dépenses d'éducation, je souhaite seulement qu'on évalue exactement leur efficacité quitte à les repartir différemment... mais rien que le mot "évaluation" hérisse le poil des gauchistes...
Sinon, je suis ravi de voir que sur le fond tu es d'accord avec moi.
Quitte à me répéter pour la 1000ème fois, je ne suis pas pour la baisse des impôts... en tous cas pas celle effectuée par la droite depuis 5 ans.
Concernant les dépenses d'éducation, je souhaite seulement qu'on évalue exactement leur efficacité quitte à les repartir différemment... mais rien que le mot "évaluation" hérisse le poil des gauchistes...
Sinon, je suis ravi de voir que sur le fond tu es d'accord avec moi.
- Simply the Best
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Simply the Best a écrit :STB rit encore ! L'éducation? Malgré un budget énorme, l'école n'a jamais autant crée d'inégalité et des centaines de milliers d'écoliers sortent sans diplôme.
Tu connaîs une période de l'histoire de France où l'école a fait mieux qu'aujourd'hui ? Non, pour la simple raison que le nombre de diplômés ne cessent d'augmenter chaque année.
[quote="Simply the Best"]
> Le nombre de diplomés a augmenté mais le nombre d'étudiant a explosé...
> Et je ne parle pas de la baisse du niveau exigé pour l'obtention du BAC par exemple, baisse reconnue par les profs eux-mêmes.
- Simply the Best
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- lit-et-rature
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The Return of Den Boer a écrit :on ne le repetera jamais assez : le montant de la dette importe peu puiqu'elle ne sera JAMAIS remboursé, pour un état c'est l'equivalent d'un emprunt perpetuel
Mouaisssss
The Return of Den Boer a écrit :ce qui compte c'est le service de la dette (les interets) et la destination de la dette
Oui, il ne faut pas occulter le problème du remboursement de la dette en capital et surtout en Intérêt. Or, chaque année, l'Etat consacre l'intégralité des recettes de l'impôt sur le revenu (soit 40 Md€) au paiement des seuls intérêts de la dette ...
Simply the Best a écrit :> Quel est ton remède? dans le détail bien sûr.
Je ne vais pas faire un grand speech sur ce très lourd problème et vous ennuyer à discutailler des régles de la comptabilité publique et des mécanisme de la LOLF de 2001.
Pour moi, la question de la dépense publique est centrale : en finir avec le culte de dépense publique pour résoudre tous les problèmes sociaux ... Arrêter avec la politique "keynesienne" d'autorisation du déficit budgétaire. (41 Milliards d'E en 2006 ...).
Au delà des techniques européennes de réduction du déficit (Cession de titres et vente de patrimoine immobilier), il y a un sujet qui fâche mais qui sera obligatoirement abordé ,tout comme les retraites : la réforme de la fonction publique.
De nombreux pays s'y sont attelés avec succès (Canada, Suisse, Nouvelle Zélande ...). Ils ont eu recours à un nouveau statut de la F.P avec baisse significative des effectifs , "audits" sur l'efficacité des services .... (et même liquidation des fonctionnaires en N-Zellande pour permettre une mise en concurrence). Ces pays sont revenus progressivement à l' équilibre budgétaire par ce mécanisme.
Alors, même si le cas français est particulier (surtout au niveau local), la réforme intégrale de la FP d'Etat me paraît vitale pour tenter de résorber le déficit.
Monsieur Sarkozy nous a refait l'effet d'annonce de la reformette consistant à ne remplacer qu'un fonctionnaire sur 2 partant à la retraite. Loin d'être suffisant ...
Modifié en dernier par lit-et-rature le 01 déc. 2006 23:59, modifié 1 fois.
- François de Malherbe
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Simply the Best a écrit :Simply the Best a écrit :STB rit encore ! L'éducation? Malgré un budget énorme, l'école n'a jamais autant crée d'inégalité et des centaines de milliers d'écoliers sortent sans diplôme.
Tu connaîs une période de l'histoire de France où l'école a fait mieux qu'aujourd'hui ? Non, pour la simple raison que le nombre de diplômés ne cessent d'augmenter chaque année.Simply the Best a écrit :
> Le nombre de diplomés a augmenté mais le nombre d'étudiant a explosé...
> Et je ne parle pas de la baisse du niveau exigé pour l'obtention du BAC par exemple, baisse reconnue par les profs eux-mêmes.
Tu parles du bac de 1920, où il fallait parfaitement parler le grec, le latin et l'hébreu ? OK.
Sauf qu'il concernait 1% de la population.
En 1968 même, l'école n'était pas encore entrée dans l'ère de l'école de masse que nous connaissons aujourd'hui. En revanche, le niveau des excellents est toujours aussi élevé qu'en 1920 et qu'en 1968, tandis que le niveau général de la population a explosé de manière considérable. Les compétences ont également changé : est-il plus important au XXIe siècle de maîtriser le subjonctif imparfait et de réciter l'Iliade dans le texte que de pouvoir mettre son talent, son imagination, ses capacités pour créer un logiciel informatique, trouver un slogan publicitaire ou toute autre activité incontournable dans l'économie actuelle (notamment dans les emplois stratégiques, essentiels pour le développement et la croissance : informatique, marketing et publicité, banques et assurances, télécommunications, recherche...)
Certes, les étudiants de BTS et d'IUT ne savent pas conjuguer avec l'auxilaire "être", mais les élites intellectuelles sont toujours aussi performantes. Celui qui dit que l'école ne remplit pas son rôle est un démago. Personnellement, cela ne me dérangerais pas d'apprendre aux élèves les "humanités", mais pour des mecs de droite comme vous et comme ceux qui gouvernent le monde : quel intérêt, si on s'épanouit sans trouver d'emploi ?
On reproche à l'école de ne plus rien faire apprendre aux élèves (Austerlitz ? euh, ben, c'est celui qu'a assassiné Henri IV, c'est ça m'sieur?) et ne pas les préparer à l'entrer sur le marché de l'emploi. Il y a comme un paradoxe...
Quant aux profs qui disent que le niveau baisse, il y en a beaucoup, mais il y a aussi beaucoup de vieux cons chez les profs (il faut l'avouer) qui serait bien incapables d'enchaîner successivement une dissertation sur la philosophie de Kant, une démonstration de géométrie, une version d'anglais, un exercice de physique et un commentaire historique de documents sur le Front Populaire dans la même journée.
L'histoire n'est pas la science du passé, mais la science des hommes dans le temps.
- The Return of Den Boer
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- Simply the Best
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François de Malherbe, j'applaudis ta démonstration qui est à 2 doigts de me convaincre mais je pense que le problème est bien plus profond que cela.
En effet, entre maîtriser parfaitement le grec et le latin et écrire "kom ça car ge sé kécrir en SMS", il y a une grande différence...
De plus, un minimum de culture général est indispensable pour chaque être humain afin de comprendre dans quel monde nous vivons...
En effet, entre maîtriser parfaitement le grec et le latin et écrire "kom ça car ge sé kécrir en SMS", il y a une grande différence...
De plus, un minimum de culture général est indispensable pour chaque être humain afin de comprendre dans quel monde nous vivons...
- Sebmalherbe
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- François de Malherbe
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Simply the Best a écrit :
De plus, un minimum de culture générale est indispensable pour chaque être humain afin de comprendre dans quel monde nous vivons...
Mais tu prêches un convaincu, je m'y emploie tous les jours. Seulement, il est bon de rappeler que le niveau global de culture générale dans toutes les strates de la population est en progression. Quant à l'orthographe, c'est un vieux serpent de mer, mais ne te sens pas obligé de verser systématiquement dans la caricature. Tu es vraiment névrosé come garçon.
A t'écouter, rien ne marche jamais ni nulle part, à commencer par le SMC, d'ailleurs, dont tu soulignes toujours les errements, jamais les réussites. Mais c'est un autre débat qu'il est inutile d'ouvrir ici.
L'histoire n'est pas la science du passé, mais la science des hommes dans le temps.
- Jon Machin
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tite-live a écrit :François de Malherbe a écrit : à commencer par le SMC, d'ailleurs, dont tu soulignes toujours les errements, jamais les réussites. Mais c'est un autre débat qu'il est inutile d'ouvrir ici.
C'est clair, y'a des forums pour ça.
à la pince sans rire,à la mine de rien...
Comme dirait l’autre, « ça durera ce que ça durera » mais comme disait ma grand-mère, « ce qui est pris n’est plus à prendre ».
- Simply the Best
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