Le président socialiste de la région Languedoc-Roussillon Georges Frêche a regretté que l'équipe de France de football compte "neuf blacks sur onze" alors que selon lui, "la normalité serait qu'il y en ait trois ou quatre", rapporte le quotidien Midi Libre dans son édition de jeudi.
"Dans cette équipe, il y a neuf blacks sur onze. La normalité serait qu'il y en ait trois ou quatre. Ce serait le reflet de la société. Mais là, s'il y en a autant, c'est parce que les blancs sont nuls", a déclaré M. Frêche.
"J'ai honte pour ce pays. Bientôt, il y aura onze blacks. Quand je vois certaines équipes de foot, ça me fait de la peine", a ajouté M. Frêche.
Ce dernier commentait mardi soir lors d'un conseil d'agglomération dont il est le président, les mauvais résultats enregistrés lors du week-end précédent par les équipes de rugby et de handball de Montpellier financées par l'agglomération. L'équipe de rugby de Montpellier a été dominée à domicile par Perpignan (17-12) et celle de handball a encaissé un match nul (29-29) face à l'équipe de Valladolid (Espagne).
L'Agglomération, contactée par l'AFP, a indiqué qu'"effectivement, à peu de choses près, M. Frêche avait bien tenu ces propos".
Georges Frêche, le président socialiste de la région Languedoc-Roussillon, a estimé mardi soir qu'il y avait trop de « blacks » en équipe de France.
Selon le quotidien Midi Libre, Georges Frêche, le président socialiste de la région Languedoc-Roussillon, a déclaré après la rencontre France-Grèce au Stade de France : « Dans cette équipe, il y a neuf blacks sur onze. La normalité serait qu'il y en ait trois ou quatre. Ce serait le reflet de la société. Mais là, s'il y en a autant, c'est parce que les blancs sont nuls. J'ai honte pour ce pays. Bientôt, il y aura onze blacks. Quand je vois certaines équipes de foot, ça me fait de la peine. »