François de Malherbe a écrit :En parlant de grincheux, comment te sens-tu avant de retourner à l'école le mercredi matin ? HS complet, je le concède. Mais j'espère qu'une revalorisation salariale vous sera justement attribuée.
Faut pas rêver, nous sommes beaucoup trop nombreux et la moindre augmentation pèse très (trop) lourd sur le budget. J'espère surtout que globalement on ne fera pas beaucoup plus d'heures, ce qui est possible en supprimant tout un tas de réunions ou autres conférences qui ne servent à rien d'autre que de nous faire faire les heures dues à l'éducation nationale. La suppression d'une demi-journée par Sarko a été compensée par d'autres heures comme la remédiation. Pour rappel, les 35 heures ne nous concernaient nullement et n'avaient entraîné aucune augmentation en compensation. Sinon, quitte à travailler le mercredi, j'aime autant que ce soit devant des élèves que dans un amphi à écouter la parole divine.
Pour La Maîtresse, c'est le temps du soutien scolaire qui va sauter pour compenser, elle m'a indiqué qu'il était de toute façon futile.
Oui, c'est ce qu'on appelle "remédiation". Mais le compte n'y sera pas.
Autant je trouve qu'il faut tirer les vers du nez des organisateurs du Tour pour qu'ils mettent des arrivées en altitude, mais en Espagne ils sont tarés dans le sens inverse.
Guigui, visiblement, tu fais une confusion avec l'expression "tirer les vers du nez". Tu ne voulais pas écrire, il faut "qu'ils se sortent les doigts du cul" plutôt ?
L'histoire n'est pas la science du passé, mais la science des hommes dans le temps.
François de Malherbe a écrit :Guigui, visiblement, tu fais une confusion avec l'expression "tirer les vers du nez". Tu ne voulais pas écrire, il faut "qu'ils se sortent les doigts du cul" plutôt ?
Non dans mon esprit c'était clair mais après relecture ton expression est plus adéquat en effet.
Il aurait également balancé cette enflure de Verbruggen qui l'aurait couvert toutes ces années alors qu'il savait pertinemment qu'il se shootait à l'EPO.
Je vois bien un truc dans le genre "Oui, je me suis dopé mais tous les coureurs se dopaient donc nous étions à égalité". Ce qui était presque vrai sauf que certains ont toujours refusé de rentrer dans ce jeu et que ce sont eux les vrais perdants de l'affaire.
Il va surtout défoncer le patron de l'UCI de l'époque, qui doit transpirer à grosses gouttes depuis ce matin. L'interview ne sera que le premier domino tombé du parcours.