Xavi Jacob a écrit :J'y connais rien mais j'ai du mal à comprendre que la priorité absolue ne soit pas de reconstruire ou de dévier le viaduc sur qui on aura droit un jour ou l'autre à l'accident du siècle.
Dans le fond je suis tout à fait d'accord avec toi : ce viaduc est très dangereux. Mais aujourd'hui je suis pas sur qu'on ait les moyens d'intervenir dessus de façon massive, surtout les moyens financiers. Et je suppose donc que le projet présenté dans les pages précédentes vise aussi à essayer de le désengorger pour limiter les risques d'accident. Bon en même temps moi ce qui me choque le plus dans ce viaduc c'est la longueur des voies d'insertions et de sorties, côté Mondeville. C'est ultra court, je serais pas surpris outre mesure qu'il y ait régulièrement des accidents sur ces bretelles.
Par ailleurs, un moyen tout bête de réduire les risques de d'accident serait de s'assurer que les gens roulent tous à 70. Un système de contrôle de vitesse en continu (comme il en existe sur une portion de l'A13) pourrait être utile, plutôt que deux radars fixe que tout le monde connait.
Caen, ville forte riche, spacieuse, belle de ses rivières, de ses prairies, de son port de mer ; elle se pare de tant d'églises, de maisons et d'habitants que c'est à peine si elle se reconnaît inférieure à Paris. GUILLAUME LE BRETON. Philippide, 1. VIII.
si j'ai bonne mémoire, je l'ai vu construire le viaduc, je crois bien qui il y a du monde dans un ou deux piliers de béton, des portugais enfin c'est ce qui se disait à l’époque un accident du travail au moment du coulage !
Quand ça chie, on n'est pas beaucoup dans le maquis
Je savais pas et je trouve cet épisode très moche.
Caen, ville forte riche, spacieuse, belle de ses rivières, de ses prairies, de son port de mer ; elle se pare de tant d'églises, de maisons et d'habitants que c'est à peine si elle se reconnaît inférieure à Paris. GUILLAUME LE BRETON. Philippide, 1. VIII.
faut dire que maintenant, ça picole moins sur les chantiers
mon 1er chantier je m'occupais de deux compagnons en ravitaillement de briques, mortier et en pinard que j'allais chercher à la brouette à l’épicerie (je ramenais les vides, anecdote véridique)
Quand ça chie, on n'est pas beaucoup dans le maquis
Caen, ville forte riche, spacieuse, belle de ses rivières, de ses prairies, de son port de mer ; elle se pare de tant d'églises, de maisons et d'habitants que c'est à peine si elle se reconnaît inférieure à Paris. GUILLAUME LE BRETON. Philippide, 1. VIII.
Caramba encore raté ! C'est dommage que la base logistique soit au Havre alors qu'on va avoir un énorme champ d'éoliennes à Courseulles.
Caen, ville forte riche, spacieuse, belle de ses rivières, de ses prairies, de son port de mer ; elle se pare de tant d'églises, de maisons et d'habitants que c'est à peine si elle se reconnaît inférieure à Paris. GUILLAUME LE BRETON. Philippide, 1. VIII.
Un appel d'offres, j'ai quand même l'impression que ça peut vite tourner à la blague.
Surtout sur des projets de cette taille là. Y a que 2-3 boites qui peuvent répondre et elles se partagent le marché.
Caen, ville forte riche, spacieuse, belle de ses rivières, de ses prairies, de son port de mer ; elle se pare de tant d'églises, de maisons et d'habitants que c'est à peine si elle se reconnaît inférieure à Paris. GUILLAUME LE BRETON. Philippide, 1. VIII.
y a un savoir faire dans la région, y a de ça quelques temps, on construisait des plateformes de forages pour le pétrole de la Mer du Nord (entre autres) par ici
Quand ça chie, on n'est pas beaucoup dans le maquis
- Doit-on considérer le bâti ancien des villes sinistrées en 1944 comme des bijoux de famille ou des biens communs susceptibles d'être abattus pour le renouvellement des cités ? 68 ans après, les cicatrices (et les traumatismes) sont loin d'être refermés, la plupart des villes reconstruites composant avec un rapport très particulier avec leur bâti pré-44.
- Pourquoi diable l'architecture du XIXème est à ce point honnit ? La question du maintien des monuments après la guerre dépendait davantage de l'ancienneté que de l'état de conservation. On a ainsi conservé Escoville et rasé l'université, deux bâtiments qui présentaient pourtant les mêmes degrés de destruction. Peu d'évolution de nos jours