En tout cas, ce match Monaco-Real avait vu le même scénario dans les semaines le précédant. Madrid qui se voyait déjà qualifié après le 4-2 de l'aller, Beckham avait même fait une faute volontaire pour louper le match retour et être safe pour les demies. Et bam, Monaco et Morientes-Giuly qui les torchent à Louis II
Ils apprennent de leurs erreurs ces Madrilènes, c'est bien
Molko a écrit :Franchement, quelle buse ce Puel...
N'empéche que le replacement de Toulalan en défense centrale et la rentrée du phénomène Gonalons au milieu, moi je dis bien joué puel !!!
Toulalan est pour moi beaucoup plus utile en def centrale qu'au milieu, et Gonalons, vraiment impressionnant le gamin de 20 ans !!!
Aaah, les années 80, les derbys Lisieux-Caen
les années Santini-Mankowski
10000 spectateurs pour un match de D3
J'y étais, mais pas du côté Malherbiste !!
C'était une belle démonstration de football collectif. C'est ce qui m'a fait plaisir, cette victoire d'un groupe qui s'est construit dans la douleur, avec un coach qui reste fidèle à ses idées malgré les critiques face à une équipe de stars à la con.
Ca n'empêchera pas qu'au prochain mercato on ne parlera encore que du Real, de ses individualités et de ses recrutements pharaoniques.
Modifié en dernier par Xavi Jacob le 11 mars 2010 09:15, modifié 1 fois.
Xavi Jacob a écrit :C'était une belle démonstration de football collectif. C'est ce qui m'a fait plaisir, cette victoire d'un groupe qui s'est construit dans la douleur, avec un coach qui reste fidèle à ses idées malgré les critiques face à une équipe de stars à la con.
Ca n'empêchera pas qu'au prochain mercato on ne parlera encore que du Real, de ses individualités et de ses recrutements pharaoniques.
Ce qui est fort aussi, c'est de n'avoir pris qu'un but en première mi-temps, alors que le Real dominait franchement, et d'avoir fait les ajustements nécessaires pour renverser la vapeur en seconde mi-temps.
Que de bonnes choses : Gonalons et Pjanic s'imposent de plus en plus clairement, Cissokho est super intéressant, Delgado est en train de montrer tout le potentiel qu'on avait pu entrevoir entre deux blessures, Lisandro est un sacré numéro et Cris est redevenu le joueur qu'il était avant son opération du genou...
Et battre le Real, c'est un peu l'exploit qu'il manquait à l'OL ces dernières années !
