Magenta a écrit :Rassure-moi, on sera toujours en L1 ? Et le havre en Nationale ?
La crise financière touche et touchera de façon importante le football à travers les graves difficultés voire les faillites de certains sponsors ou actionnaires.
Bref, le football moderne en 2011 n'éxistera peut-être plus mais tu pourras toujours supporter la butte de Caen ou la maladrerie par exemple.
Tant que le CAC40 n'aura pas (re)dépassé au moins les 4000 points, je resterai aigri et pessimiste.
C'est un peu dur pour vous qui avait l'habitude de voir un STB joyeux et enthousiaste mais la période est dure.
24 Heures plus tard, l'Histoire prouve que STB avait raison :
Foot: le parrainage "maillot" rapporte moins qu'avant aux clubs européens Les recettes de la vente aux parraineurs de l'espace "maillot" des clubs de football européens ont baissé de 3% pour 2008/2009 à 392,2 millions d'euros, contre 405,2 millions la saison passée, avec notamment une chute de 15% sur le marché anglais, révèle une étude rendue publique mardi.
C'est la première fois depuis dix ans, date de création de son instrument de mesure, que l'agence d'analyse Sport+Markt à l'origine de l'étude enregistre une baisse de valeur du sponsoring maillot sur l'ensemble des six principaux championnats continentaux.
Représentant de l'agence en France, Olivier Michel relativise l'importance du climat économique actuel sur le parrainage des maillots, arguant notamment de l'antériorité de la signature des contrats par rapport au début de la crise. Il note en revanche que les clubs ont tendance à multiplier les parraineurs: "plus vous avez de partenaires, plus vous diluez la valeur de l'association".
Exception faite d'une Angleterre en crise (85,5 millions d'euros de recettes "maillot", soit -15%), les marchés du nord sont les plus matures avec une Allemagne qui vole aux Anglais la tête du marché européen grâce à ses 102,9 millions d'euros de marché "maillots".
A noter également la performance des Pays-Bas qui, avec 42 millions d'euros, génèrent autant de valeurs que l'Espagne du Real Madrid tout en comptant trois fois moins d'habitants. Allemands et Néerlandais privilégient sinon l'unicité du sponsor, du moins sa mise en valeur.
En milieu de classement, le marché français reste stable à 50 millions contre 51 millions en 2007/2008.
Enfin, les plus généreux des parraineurs maillots en Europe restent les banques et assureurs (80,7 millions par an) devant le secteur du tourisme (50 millions) et les sociétés de paris (49 millions).
François de Malherbe le 29 Mai 2008 a écrit :Mais putain STB, pourquoi t'acharnes-tu à vouloir démontrer que le prix du baril va descendre, comme aurait dû le faire Malherbe en L2 ? Nous sommes désormais beaucoup plus proche de la barre des 200 € que des 100 €, ce n'est qu'une question de mois. Et ce n'est pas en soulignant ponctuellement une légère baisse que tu réussiras à te convaincre du contraire...
Le baril de pétrole n'arrive pas à dépasser les 70 dollars alors que l'économie mondiale est en pleine reprise.
Encore une fois, Simply The Best avait raison et les bien-pensants tort.
Et si vous vous demandez pourquoi je remonte ce topic, sachez que c'est uniquement pour vous faire chier et créer une polémique.
Simply the Best a écrit :Le baril de pétrole n'arrive pas à dépasser les 70 dollars alors que l'économie mondiale est en pleine reprise..
C'est la 2 partie de ta phrase que je trouve énorme. Tu as vu où que l'économie mondiale était en pleine reprise ? Faudra que tu nous dises dans quel monde tu vis simplet quand même...
Modifié en dernier par cabask le 23 sept. 2009 19:11, modifié 1 fois.
Il était un petit homme, pirouette, cacahuétte.
Il était un petit homme qui avait une drôle de maison,qui avait une drôle de maison!
Sa maison, est en carton
Pirouette cacahuette
Sa maison est en carton, ces escaliers sont en papiers,
ces escaliers sont en papiers.
C'est toujours pareil, les financiers raisonnent en termes d'incateurs économiques. Les gens raisonnent en fonction de leur vie de tous les jours.
C'est sûr que quand je pense aux jeunes qui bossent avec Moi qui seront, la semaine prochaine, au chômage pour cause de conjoncture défavorable, je me vois mal leur dire "allez gamin, t'inquiète pas, la reprise est là".
Parce que bon, la taxe foncière est tombée, la taxe d'habitation ne va pas tarder...
Et le bien-pensant, il doit de répondre quoi ? Que l'économie est autant une science que l'astrologie ?
C'est l'enseignement de cette crise.
Et puis, sur le pétrole, cette énergie nous pose un problème considérable, car, même cher, il n'est pas bon pour l'écologie. Bien que de plus en plus rare, le baril de pétrole est entré dans une ère de fluctuations incessante, en passant de 150 à 50 dollars en quelques mois. Pourquoi ? Parce qu'on en cherche partout et qu'on prospecte dans certaines régions reculées. Car un baril onéreux, allié à de nouvelles techniques d'exploitation, pousse les pétroliers à chercher l'or noir dans des zones difficiles d'accès et sensibles pour l'environnement.
Principal espace qui sera la victime "collatéral" de l'amenuisement de la ressource pétrolière : l'Arctique (déjà touchée de plein fouet par le réchauffement climatique dû...aux émissions de CO2. Bref, une double peine pour cette zone de la planète).
Tiens, je suis tombé sur ces chiffres : le monde consommait moins de 1 million de barils par jour en 1900. La demande actuelle est de 85 millions. Comment peut-on qualifier nos hommes politiques de responsables en sachant que cette ressource est fossile et qu'un virage "énergétique" s'impose. Alors quoi, sous prétexte que le baril n'est pas à 200 euros tout va bien et on continue à foncer dans le mur ?
En même temps, ce serait peut-être plus simple si on n'avait pas privatisé des entreprises comme Total, qui est aujourd'hui à la tête d'un lobby d'une puissance exorbitante. D'ailleurs, la hausse du baril fait leurs "affaires" à nos pétroliers, de même que le réchauffement climatique, puisqu'il leur permet d'aller puiser dans des zones inaccessibles auparavant. C'est pas ça qu'on appelle un cercle vicieux ?
L'histoire n'est pas la science du passé, mais la science des hommes dans le temps.