c'est la crise ! ! !
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ST Etienne en faillite 1ère ville victime de la crise du crédit :
Le maire PS de Saint-Etienne, Maurice Vincent, a sollicité mardi l'intervention de l'Etat pour permettre à la municipalité d'échanger les produits à risques qui composent l'essentiel de la dette de sa ville contre des emprunts traditionnels.
Le premier magistrat de la ville, dont 60% des 401 millions d'euros de dette sont constitués de swaps spéculatifs, bâtis sur des taux dits "structurés", demande, dans un communiqué, l'intervention des ministères concernés "pour qu'une table ronde soit organisée rapidement avec les organismes prêteurs, afin d'obtenir de leur part l'échange de ces produits risqués contre des emprunts traditionnels".
"A défaut, je sollicite la création d'une structure de +défaisance+ permettant à notre ville de désamorcer la véritable bombe à retardement qui pèsera, dès 2011, sur les générations futures", déclare Maurice Vincent, élu en mars dernier.
Après avoir engagé des négociations avec les principaux prêteurs de la ville, dont Dexia auprès de qui a été souscrit 55% de la dette, il déplore que la plupart des banques ne veulent pas reprendre leurs produits à risques.
L'élu souligne qu'"au moment où le gouvernement annonce un plan de soutien aux banques et aux collectivités territoriales fragilisées par la crise financière, la situation de la ville de Saint-Etienne, comme certaines autres, appelle un traitement particulier".
S'appuyant sur un récent audit de la dette de sa ville, Maurice Vincent estime que "la couverture du risque encourue exigerait aujourd'hui une provision de 70 millions d'euros, suite à la crise financière. Soit une augmentation de 60 à 75% des impôts locaux ! Ce qui est à l'évidence inimaginable".
En juin dernier, le maire de Saint-Etienne avait écrit à la ministre de l'Economie, Christine Lagarde, et à la ministre en charge des Collectivités locales, Michèle Alliot-Marie, pour leur suggérer "la mise en place de garde-fous dans le recours à l'emprunt des collectivités locales"
Le maire PS de Saint-Etienne, Maurice Vincent, a sollicité mardi l'intervention de l'Etat pour permettre à la municipalité d'échanger les produits à risques qui composent l'essentiel de la dette de sa ville contre des emprunts traditionnels.
Le premier magistrat de la ville, dont 60% des 401 millions d'euros de dette sont constitués de swaps spéculatifs, bâtis sur des taux dits "structurés", demande, dans un communiqué, l'intervention des ministères concernés "pour qu'une table ronde soit organisée rapidement avec les organismes prêteurs, afin d'obtenir de leur part l'échange de ces produits risqués contre des emprunts traditionnels".
"A défaut, je sollicite la création d'une structure de +défaisance+ permettant à notre ville de désamorcer la véritable bombe à retardement qui pèsera, dès 2011, sur les générations futures", déclare Maurice Vincent, élu en mars dernier.
Après avoir engagé des négociations avec les principaux prêteurs de la ville, dont Dexia auprès de qui a été souscrit 55% de la dette, il déplore que la plupart des banques ne veulent pas reprendre leurs produits à risques.
L'élu souligne qu'"au moment où le gouvernement annonce un plan de soutien aux banques et aux collectivités territoriales fragilisées par la crise financière, la situation de la ville de Saint-Etienne, comme certaines autres, appelle un traitement particulier".
S'appuyant sur un récent audit de la dette de sa ville, Maurice Vincent estime que "la couverture du risque encourue exigerait aujourd'hui une provision de 70 millions d'euros, suite à la crise financière. Soit une augmentation de 60 à 75% des impôts locaux ! Ce qui est à l'évidence inimaginable".
En juin dernier, le maire de Saint-Etienne avait écrit à la ministre de l'Economie, Christine Lagarde, et à la ministre en charge des Collectivités locales, Michèle Alliot-Marie, pour leur suggérer "la mise en place de garde-fous dans le recours à l'emprunt des collectivités locales"
- François de Malherbe
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quand tu donnes une info , donne la complète
Vincent Maurice a été élu maire de Saint-Étienne le 16 mars 2008.
les emprunts réalisaient par la mairie ne doivent pas dater d'hier soir !
il faudrait poser des questions à l'ancien maire:
Thiolliere Michel, sénateur UMP
Vincent Maurice a été élu maire de Saint-Étienne le 16 mars 2008.
les emprunts réalisaient par la mairie ne doivent pas dater d'hier soir !
il faudrait poser des questions à l'ancien maire:
Thiolliere Michel, sénateur UMP
Modifié en dernier par Jon Machin le 21 oct. 2008 22:09, modifié 1 fois.
Comme dirait l’autre, « ça durera ce que ça durera » mais comme disait ma grand-mère, « ce qui est pris n’est plus à prendre ».
- Jon Machin
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mais pour être plus juste, on va en trouver des emprunts aux taux variables dans beaucoup de communes françaises, à droite comme à gauche
la chasse est ouverte pour les branles moumouttes dans ton genre , simplet
la chasse est ouverte pour les branles moumouttes dans ton genre , simplet
Comme dirait l’autre, « ça durera ce que ça durera » mais comme disait ma grand-mère, « ce qui est pris n’est plus à prendre ».
M.O.P a écrit :C'est la crise !!
Coudray revient pour réglé la crise
http://www.caen.maville.com/Basket-Coud ... _actu.html
Elu merci pour ces trois saisons , bonne chance pour la suite de ta carriére!!!!
http://fr.youtube.com/watch?v=Tbac-otkq ... re=related" onclick="window.open(this.href);return false;
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- Jon Machin
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vince1450 a écrit :M.O.P a écrit :C'est la crise !!
Coudray revient pour réglé la crise
http://www.caen.maville.com/Basket-Coud ... _actu.html
pour avoir le résultat de ce soir , il vaut mieux lire un journal grecque ou le OF en ligne ?
Comme dirait l’autre, « ça durera ce que ça durera » mais comme disait ma grand-mère, « ce qui est pris n’est plus à prendre ».
Jon Machin a écrit :vince1450 a écrit :M.O.P a écrit :C'est la crise !!
Coudray revient pour réglé la crise
http://www.caen.maville.com/Basket-Coud ... _actu.html
pour avoir le résultat de ce soir , il vaut mieux lire un journal grecque ou le OF en ligne ?
Nouvelle défaite ...
Mondeville - Aris Holargou : 65-71
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pascalnouma a écrit :Greenspan qui se repent...
Ca me ferait presque bander tellement c'est émouvant.
C'est surtout pathétique de la part d'un mec qui a défendu bec et ongles le capitalisme roi, l'ultralibéralisme économique.
En même temps, il avoue qu'il avait tord et que le capitalisme est mort !!!!
Aaah, les années 80, les derbys Lisieux-Caen
les années Santini-Mankowski
10000 spectateurs pour un match de D3
J'y étais, mais pas du côté Malherbiste !!
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10000 spectateurs pour un match de D3
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Edito de Marc Fiorentino 27/10/08
A l’heure où l’OPEP se réunit pour réduire sa production et imposer de nouveaux quotas qu’elle ne pourra pas respecter, il me paraît intéressant de tirer les enseignements de la baisse du pétrole. Pas pour regarder dans le rétroviseur mais pour prédire l’avenir, notamment sur le CAC 40 et les indices boursiers. Je n’ai pas besoin de vous rappeler les faits. En juillet 2008, le pétrole frôlait les 150 dollars. Il a chuté cette semaine à moins de 65 dollars. Une chute de prés de 60%, nette, claire, chirurgicale.
Leçon n°1 : Les spécialistes ont souvent tort. J’évite de dire « toujours » pour ne pas me faire plus d’ennemis que j’en aie déjà. Quand le pétrole frôlait les 150 dollars, le consensus, à de rares exceptions près comme l’excellent Philippe Chalmin, spécialiste des matières premières, annonçait les 200 dollars. C’est même l’annonce par un analyste de Goldman Sachs de cet objectif de 200 dollars qui a provoqué la dernière vague de hausse.
Leçon n°2 : Il est impossible de prendre du recul quand on est dans l’oeil du cyclone. En juillet, nous étions tous convaincus qu’il n’y avait plus de pétrole. Plus une goutte. On se voyait déjà rouler toute la journée en vélib, une casquette éolienne sur la tête, une combinaison en plaque solaire sur le corps et un billet pour la visite du Musée de l’Automobile Disparue en mains.
Leçon n°3 : La roue tourne. En juillet, le président Vénézuelien insultait le président américain, une fois de plus, après avoir irrité au plus haut point le roi d’Espagne. Il se voyait en nouveau Fidel Castro, mais un Fidel Castro riche de milliards de pétro dollars pour lancer une nouvelle révolution. Le président Iranien multipliait les menaces nucléaires et narguait le monde occidental. Vladimir Poutine se voyait en nouveau maître du monde et les oligarques Russes achetaient tout en Europe au double du prix de marchés. Aujourd’hui, c’est la débâcle. Chavez et Ahmadinejad se demandent comment ils vont contenir l’explosion sociale qui les menacent, et les oligarques russes vont troquer Saint-Jean-Cap-Ferrat contre la Sibérie. L’OPEP dominatrice est en pleine panique
Leçon n°4 : Les meilleurs peuvent se tromper. La fable de la disparition du pétrole, ce n’est pas seulement le grand public qui l’a crue. Non. Les plus grands et les meilleurs gérants du monde, les plus grands hedge funds étaient, tous, presque sans exception, « longs » de pétrole. La chute du pétrole a entraîné leur chute qui a accéléré la chute du pétrole qui a accéléré leur chute etc. etc. etc.
Leçon n°5 : On n’est jamais content. Rappelez vous. En juillet, la flambée des prix du pétrole et de l’essence faisait la une de tous les journaux, avec la hausse des prix alimentaires. C’était la préoccupation numéro un des Français qu’on interviewait à la pompe quand ils avaient encore les moyens de s’y rendre. Aujourd’hui, le pétrole a chuté de moitié, les matières premières alimentaires ont chuté. Le riz est à nouveau accessible aux plus pauvres de la planète. Qui s’en réjouit ? Personne.
Leçon n°6 : Etre contrarian c’est dur mais cela peut se révéler payant. J’ai annoncé l’explosion de la bulle des matières premières et notamment du pétrole. Trop tôt. Beaucoup trop tôt. Le pétrole valait à peine 100 dollars que je prédisais déjà son effondrement. Il est monté de 50%. Une vraie erreur. Inexcusable. Mais j’ai préféré ne pas céder à la pression. J’ai gardé le cap. Après quelques mois de souffrance, le marché a baissé. Enfin. Rien de glorieux. Mais il a baissé tout de même.
Et maintenant, le plus important. Comment adapter ces enseignements à la situation actuelle des indices boursiers ? La similitude est troublante. Commençons par la fin : Je me trompe (n°6). Comme dans le cas du pétrole, je prévois depuis plusieurs semaines un rebond sur le CAC qui ne vient toujours pas. Je me trompe mais je ne change pas de cap. Je prévois un rebond violent et brutal des marchés d’actions dans les 6 mois qui viennent. Tout le monde se plaint (n°5) mais personne ne se réjouira quand le CAC rebondira. Les stratèges sont tous pessimistes et nous annoncent la fin du monde (n°1), les 200 dollars du stratège de Goldman Sachs sont les 2000 sur le CAC, nouvel objectif des corbeaux de service. Nous n’avons aucun recul (n°2) et malgré des valorisations qui intègrent encore l’explosion de la planète finance et deux ans de récession, personne ne voit d’où viendra le souffle pour un rebond. Les gérants de hedge funds ont capitulé et ne croient plus à la hausse des actions (n°4). Et les investisseurs les plus talentueux n’osent plus croire que la roue peut tourner (n°3).
Conclusion : Les indices boursiers sont au point de capitulation où était le pétrole en juillet. Le CAC à 3000 c’est le pétrole à 150 dollars. Le pétrole a baissé de 50% depuis. Le CAC peut remonter de 50% dans les 6 mois qui viennent. CQFD.
Commentaire de STB :
Je crois que tout est dit... Ceux qui ont des couilles peuvent les transformer en OR massif !
A l’heure où l’OPEP se réunit pour réduire sa production et imposer de nouveaux quotas qu’elle ne pourra pas respecter, il me paraît intéressant de tirer les enseignements de la baisse du pétrole. Pas pour regarder dans le rétroviseur mais pour prédire l’avenir, notamment sur le CAC 40 et les indices boursiers. Je n’ai pas besoin de vous rappeler les faits. En juillet 2008, le pétrole frôlait les 150 dollars. Il a chuté cette semaine à moins de 65 dollars. Une chute de prés de 60%, nette, claire, chirurgicale.
Leçon n°1 : Les spécialistes ont souvent tort. J’évite de dire « toujours » pour ne pas me faire plus d’ennemis que j’en aie déjà. Quand le pétrole frôlait les 150 dollars, le consensus, à de rares exceptions près comme l’excellent Philippe Chalmin, spécialiste des matières premières, annonçait les 200 dollars. C’est même l’annonce par un analyste de Goldman Sachs de cet objectif de 200 dollars qui a provoqué la dernière vague de hausse.
Leçon n°2 : Il est impossible de prendre du recul quand on est dans l’oeil du cyclone. En juillet, nous étions tous convaincus qu’il n’y avait plus de pétrole. Plus une goutte. On se voyait déjà rouler toute la journée en vélib, une casquette éolienne sur la tête, une combinaison en plaque solaire sur le corps et un billet pour la visite du Musée de l’Automobile Disparue en mains.
Leçon n°3 : La roue tourne. En juillet, le président Vénézuelien insultait le président américain, une fois de plus, après avoir irrité au plus haut point le roi d’Espagne. Il se voyait en nouveau Fidel Castro, mais un Fidel Castro riche de milliards de pétro dollars pour lancer une nouvelle révolution. Le président Iranien multipliait les menaces nucléaires et narguait le monde occidental. Vladimir Poutine se voyait en nouveau maître du monde et les oligarques Russes achetaient tout en Europe au double du prix de marchés. Aujourd’hui, c’est la débâcle. Chavez et Ahmadinejad se demandent comment ils vont contenir l’explosion sociale qui les menacent, et les oligarques russes vont troquer Saint-Jean-Cap-Ferrat contre la Sibérie. L’OPEP dominatrice est en pleine panique
Leçon n°4 : Les meilleurs peuvent se tromper. La fable de la disparition du pétrole, ce n’est pas seulement le grand public qui l’a crue. Non. Les plus grands et les meilleurs gérants du monde, les plus grands hedge funds étaient, tous, presque sans exception, « longs » de pétrole. La chute du pétrole a entraîné leur chute qui a accéléré la chute du pétrole qui a accéléré leur chute etc. etc. etc.
Leçon n°5 : On n’est jamais content. Rappelez vous. En juillet, la flambée des prix du pétrole et de l’essence faisait la une de tous les journaux, avec la hausse des prix alimentaires. C’était la préoccupation numéro un des Français qu’on interviewait à la pompe quand ils avaient encore les moyens de s’y rendre. Aujourd’hui, le pétrole a chuté de moitié, les matières premières alimentaires ont chuté. Le riz est à nouveau accessible aux plus pauvres de la planète. Qui s’en réjouit ? Personne.
Leçon n°6 : Etre contrarian c’est dur mais cela peut se révéler payant. J’ai annoncé l’explosion de la bulle des matières premières et notamment du pétrole. Trop tôt. Beaucoup trop tôt. Le pétrole valait à peine 100 dollars que je prédisais déjà son effondrement. Il est monté de 50%. Une vraie erreur. Inexcusable. Mais j’ai préféré ne pas céder à la pression. J’ai gardé le cap. Après quelques mois de souffrance, le marché a baissé. Enfin. Rien de glorieux. Mais il a baissé tout de même.
Et maintenant, le plus important. Comment adapter ces enseignements à la situation actuelle des indices boursiers ? La similitude est troublante. Commençons par la fin : Je me trompe (n°6). Comme dans le cas du pétrole, je prévois depuis plusieurs semaines un rebond sur le CAC qui ne vient toujours pas. Je me trompe mais je ne change pas de cap. Je prévois un rebond violent et brutal des marchés d’actions dans les 6 mois qui viennent. Tout le monde se plaint (n°5) mais personne ne se réjouira quand le CAC rebondira. Les stratèges sont tous pessimistes et nous annoncent la fin du monde (n°1), les 200 dollars du stratège de Goldman Sachs sont les 2000 sur le CAC, nouvel objectif des corbeaux de service. Nous n’avons aucun recul (n°2) et malgré des valorisations qui intègrent encore l’explosion de la planète finance et deux ans de récession, personne ne voit d’où viendra le souffle pour un rebond. Les gérants de hedge funds ont capitulé et ne croient plus à la hausse des actions (n°4). Et les investisseurs les plus talentueux n’osent plus croire que la roue peut tourner (n°3).
Conclusion : Les indices boursiers sont au point de capitulation où était le pétrole en juillet. Le CAC à 3000 c’est le pétrole à 150 dollars. Le pétrole a baissé de 50% depuis. Le CAC peut remonter de 50% dans les 6 mois qui viennent. CQFD.
Commentaire de STB :
Je crois que tout est dit... Ceux qui ont des couilles peuvent les transformer en OR massif !
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graham a écrit :Simply the Best a écrit :Edito de Marc Fiorentino 27/10/08
Commentaire de STB :
Je crois que tout est dit... Ceux qui ont des couilles peuvent les transformer en OR massif !
Plus que des couilles il vaudrait mieux avoir des liquidités. Et je te conseille d'investir dans l'industrie pétrolière, quoiqu'il se passe, ça va monter à moyen terme.
Car Jon Machin et toi notamment, vous vous êtes bien plantés avec votre histoire de flambée du pétrole.
Heureusement que STB était là pour ramener un peu de raison.