Nous j'en sais rien (et à vrai dire je m'en tamponne un brin), mais ma chemise y'a des chances.
J'ai éteint la télé à la suite de cet événement donc je ne sais pas ce qu'à raconté Simplet, mais je suppose qu'il a dit que la fin du monde était pour bientôt et que si on l'avait écouté depuis le début on aurait pu éviter tout ça...Du Simply dans le texte quoi.
Edit : Marie a raison, j'vais aller ba... heu rire un coup.
Quitte à citer ce grand philosophe qu'est Johnny Halliday, j'aurais plutôt opté pour le somptueux
"quand mon corps sur ton corps, lourd comme un cheval mort, ne sait pas, ne sait plus, s'il existe encore". Qui reste un must.
Marie a écrit :Quitte à citer ce grand philosophe qu'est Johnny Halliday, j'aurais plutôt opté pour le somptueux "quand mon corps sur ton corps, lourd comme un cheval mort, ne sait pas, ne sait plus, s'il existe encore". Qui reste un must.
La personne qui se retrouve sous un cheval mort ne doit pas être très fraiche.
Simply the Best a écrit :Noir c'est noir Il n'y a plus d'espoir
Boarf...
La crise, c'est surtout les riches qui vont se la prendre pleine face...
Finalement, ça ne va surement pas faire de mal, hein, une bonne remise à plat, et une bonne remise en question de ce qui, soit disant, ne pouvait plus l'être (modèle capitaliste, profit maximum "'diggin' the pocket to fill it whith bullet"). Yeah !
[...] si j’étais médecin et que je sauve la vie à quelqu’un, et que ce quelqu’un à son réveil se mette à remercier Jésus, j’aurais envie de lui enfoncer une paire de forceps dans le cul en lui conseillant de demander à Jésus de venir les lui enlever.
Simply the Best a écrit :Noir c'est noir Il n'y a plus d'espoir
Boarf... La crise, c'est surtout les riches qui vont se la prendre pleine face... Finalement, ça ne va surement pas faire de mal, hein, une bonne remise à plat, et une bonne remise en question de ce qui, soit disant, ne pouvait plus l'être (modèle capitaliste, profit maximum "'diggin' the pocket to fill it whith bullet"). Yeah !
Hum! Le secteur du bâtiment accuse le coup de la crise, avec 180 000 salariés menacés de chômage en raison de la baisse de la construction de logements neufs. « En 2008, les mises en chantier pourraient être inférieures de 90 000 à celles de 2007 (435 000). Environ 180 000 salariés sont donc menacés de se retrouver au chômage », affirme Alain Dinin, PDG de Nexity, premier promoteur français, dans une interview au Monde.