Serhat a écrit :je pense qu'on lui aurait tous laissé le temps mais quand il affirme aux trophées unfp qu'il veut plus de responsabilités au PSG ou ailleurs, c'est clairement lui qui a décidé qu'il n'avait pas le temps.
Et donc, il faut ( déjà ! ) le " jeter aux chiens " ?
Passer à autre chose ?
bah on a bien mis Benzema à l'écart avec une victoire en coupe du monde.
Et même lui a su évoluer pour revenir et sa cote de popularité n'a jamais été au mieux qu'en ce moment
18 c'est le gars qui veut virer un jeune Caennais après un mauvais match mais qui critique les autres qui en font autant après des sorties plus que limite de Mboulard. C'est paradoxal des fois
Je suis sinon d'accord, si le mec est obligé déjà de redorer sa côte de popularité tous les 6 mois, c'est pas bon signe. Trop vite starisé et il doit mal supporter devoir partager son statut. Qu'il joue à Angers, il l'aura plus facilement.
Serhat a écrit :je pense qu'on lui aurait tous laissé le temps mais quand il affirme aux trophées unfp qu'il veut plus de responsabilités au PSG ou ailleurs, c'est clairement lui qui a décidé qu'il n'avait pas le temps.
Il s'est d'ailleurs bien fait remonter les bretelles par son père après cette sortie.
Serhat a écrit :bah on a bien mis Benzema à l'écart avec une victoire en coupe du monde.
Et même lui a su évoluer pour revenir et sa cote de popularité n'a jamais été au mieux qu'en ce moment
Je ne crois pas que Deschamps ( ou un quelconque successeur ) se passera de lui à court, moyen ou long terme s'il est toujours
compétitif
Pour ceux qui, comme STB espèrent richesse et gloire (mais evitez les 5% à 35% de marges d'opérateurs de paris en France, il est impossible d'en vivre, quand dans les autres pays elle n'est que de 2 à 10%max. https://www.academia.edu/1008451/Robust ... ng-history" onclick="window.open(this.href);return false;
https://www.academia.edu/25744755/Clust ... =thumbnail" onclick="window.open(this.href);return false;
Ou la forme des équipes mises en équations, du moins chiffrées. Pour les parieurs qui misent sur les sériés en montantes et martingales (qui finissent toujours par 100% du barillet occupé par les munitions).
Mais dans une ligue irrégulière et surprenantes, il pourrait y avoir enseignement.
Je sais c'est nul c'est en anglais, Basile se fout de tout le monde et n'approuve pas toujours la majorité. Ça s'appelle un droit de vélo.C'est quand on est une grande puissance.
La cétone plus personne.
Une loi prochainement votée entraînera une amende de 500 euros environ le fumigène dans une tribune de stade.
Ensuite ce sera les banderolles et tifos.
Les porteurs de survêtements du P.S.G. devraient bénéficier d'amnistie.
Billet
Supporteurs du FC Nantes interdits dans leur propre centre-ville, un cas de farce majeure pour le préfet
Les libertés des fans de foot sont maltraitées depuis des années en France. Mais les pouvoirs publics ont repoussé les limites ce jeudi en interdisant aux locaux d’afficher les couleurs des «canaris» dans le centre de Nantes.
On pensait qu’il était impossible pour les pouvoirs publics d’aller encore plus loin dans la ridicule répression des supporteurs de foot français. C’était sans compter le préfet de Loire-Atlantique, Didier Martin, qu’il faut citer car la paraphrase serait suspectée de pervertir une réalité qui dépasse l’acceptable : «Le jeudi 10 février 2022, il est interdit à toutes les personnes se prévalant de la qualité de supporters du football club de Nantes et du Sporting club bastiais de circuler ou de stationner dans le périmètre du centre-ville de Nantes.» Il n’y a ni flou ni loup dans cette phrase du préfet : les supporters nantais, qui reçoivent ce jeudi le SC Bastia en quart-de-finale de la Coupe de France, n’auront pas le droit de circuler dans le centre de leur propre ville.
Est-ce une manière pour les pouvoirs publics de rejeter le slogan «Support Your Local Club» (supporte ton club local) ? La farce serait drôle si les conséquences potentielles n’étaient pas si importantes : depuis minuit, ceux qui portent les couleurs du FC Nantes à Nantes risquent, explique l’Association nationale des supporters (ANS), six mois d’emprisonnement, une amende de 30 000 euros et cinq ans d’interdiction de stade avec pointage au commissariat à tous les matchs (jusqu’à 250 fois en cinq ans donc). Mercredi, l’ANS a pour la énième fois saisi le juge des référés du tribunal administratif de Nantes afin de casser cette disposition. Mais le mal est fait.
Les supporteurs de foot sont l’un des groupes sociaux pour lesquels les libertés publiques sont les plus maltraitées en France. Un laboratoire sur lequel s’est appuyé le gouvernement lorsqu’il a souhaité restreindre celles des gilets jaunes ou des militants écologistes. D’habitude, la décision préfectorale, qui confinait au réflexe, était d’interdire purement et simplement les déplacements de supporteurs de l’équipe visiteurs lors des matchs. Mais ce n’est pas le cas ici et Didier Martin a décidé d’innover avec l’interdiction de déplacement des Nantais… chez eux.
La rivalité entre le club breton et le club corse nous a peut-être échappé. Si les seuls Bastiais avaient été concernés, on aurait soupiré devant cet énième abus de pouvoir qui trouve sa source dans l’aversion qu’ont souvent les préfets pour les libertés des fans autant que dans leur paresse intellectuelle. Et les Corses faisant partie des plus maltraités par la Ligue, on aurait ajouté ça au dossier, résignés. Pourquoi une décision si radicale ? Dans son arrêté, la préfecture invoque notamment le terrorisme et les mouvements sociaux, qui accaparent les forces de police, et que cette rencontre ne doit pas les «détourner» de «ces missions prioritaires». La réalité se trouve plutôt dans la contestation des supporteurs canaris contre leur direction, mais on ne voit toujours pas le rapport avec le centre-ville de Nantes.
En définitive, la préfecture de Loire-Atlantique, connue défavorablement des avocats de supporteurs comme des militants œuvrant dans le département, a franchi une limite que même les plus aguerris défenseurs des aficionados de foot ne pensaient pouvoir être franchie. Tout cela sans que cela ne semble émouvoir les élus ou la ministre des Sports, Roxana Maracineanu. Ce jeudi soir, alors que deux clubs historiques du football français voudront atteindre les demi-finales de la plus ancienne des compétitions hexagonales, la fête n’aura pas vraiment lieu, une nouvelle fois. Et ce sera la seule responsabilité de l’Etat.
"I didn't like the idea you screwed my wife ! But I like even less that you want to screw me as well !!"