Gilet jaune
Re: Gilet jaune
On sent bien le discours de tes amis, qui paradoxalement ne comprennent pas qu'un organisme etranger ne peut prêter de l'argent pour une campagne de scrutin français.Enfin tant que ça peut faire passer Le Pen pour une victime des méchants.
Re: Gilet jaune
C'est effectivement du pain béni pour leurs exercices de victimisation, ils n'ont pas besoin de ça.
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- bigdudu
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Re: Gilet jaune
Du pain bénit comme de l'eau bénite.
Re: Gilet jaune
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Modifié en dernier par rix le 05 sept. 2019 13:36, modifié 1 fois.
Pour les petits bourgeois de gauche, la réalité est fasciste, il convient donc de la nier jusqu'à l'absurde s'il le faut : le niveau monte, l'immigration est une chance pour la France, ill n'y a pas d'insécurité mais un sentiment d'insécurité....
Re: Gilet jaune
Un organisme "étranger"... ah ah ah! Dans le monde de la finance ça fait sourire. Comment peut on prétendre parler de nation à ce niveau là? S'il y a bien un domaine où il n'y a pas de frontière c'est bien celui-là.basile a écrit :On sent bien le discours de tes amis, qui paradoxalement ne comprennent pas qu'un organisme etranger ne peut prêter de l'argent pour une campagne de scrutin français.Enfin tant que ça peut faire passer Le Pen pour une victime des méchants.
Re: Gilet jaune
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Modifié en dernier par rix le 05 sept. 2019 13:36, modifié 1 fois.
Pour les petits bourgeois de gauche, la réalité est fasciste, il convient donc de la nier jusqu'à l'absurde s'il le faut : le niveau monte, l'immigration est une chance pour la France, ill n'y a pas d'insécurité mais un sentiment d'insécurité....
Re: Gilet jaune
Il n'y a bien que l'extreme droite pour pleurer pour qu'une banque étrangère finance une campagne française sur le slogan la France aux français...Mais l'internalisation de l'extreme droite est un complot gaucho centriste au service des Islamiques Judéos-maçonniques.
Re: Gilet jaune
Bah oui un particulier peut financer un parti...tout comme ricoune peut venir soutenir un rond point.ça s'appelle la démocratie.
Re: Gilet jaune
ronnie bird a écrit :Vous me direz, Levavasseur aussi est une traitresse, mais vu ses faibles facultés intellectuelles et son âge trop avancé pour faire une carrière dans le porno, en plus elle a pas sauté le patron d'EDF (sic) la pauvre, elle a droit aux circonstances atténuantes.La grande classe quoi.
Marie, au secours !
"Un point, c'est un point." Manko
Re: Gilet jaune
Très intéressant, merci bien!François de Malherbe a écrit :Plusieurs articles du Monde Diplomatique de ce mois-ci entrent évidemment en résonance avec le sujet.
Dont celui-ci, après les échanges avec Molko :
[...]
Ainsi, au moment même où les industriels démantèlent le système de la consigne, s’exonérant des coûts de retraitement, et prennent des décisions structurellement antiécologiques, ils en appellent à la responsabilisation écologique des consommateurs. Un cas typique de double morale, où l’on proclame une norme valant pour tous sauf pour soi. Responsabiliser les autres pour mieux se déresponsabiliser soi-même.
À grand renfort de campagnes publicitaires, les industriels ont réussi à construire la question des déchets comme une « affaire de responsabilité individuelle, déconnectée du processus de production (6) », sans lien avec la réduction de la création de déchets à la source. Pour les individus que nous sommes, il est sans doute flatteur d’imaginer que tout repose sur nos frêles épaules. Mais, tandis que nous trions nos emballages dans nos cuisines, de façon moins immédiatement visible d’autres acteurs, à commencer par les municipalités, ont dû investir et s’endetter pour financer les infrastructures exigées par la production exponentielle d’ordures ménagères. En fin de compte, ce sont les citoyens qui ont « financé (à la fois par leur bonne volonté et par leurs impôts) le système de recyclage des emballages produits par l’industrie de la boisson, permettant aux entreprises d’étendre leurs activités sans avoir à assumer de coûts supplémentaires (7) ».
[...]
Il y a quelque chose de paradoxal dans cette histoire. Le système de la consigne reposait sur la mobilisation d’un intérêt sonnant et trébuchant : le consommateur rapportait la bouteille vide pour récupérer, en bon agent économique, ses 50 cents. Un dispositif de gouvernement par l’intérêt, pleinement conforme aux présupposés anthropologiques de l’économie classique. Or l’industrie a tenu à remplacer ce système par un autre, fondé au contraire sur la motivation désintéressée. Par pur souci de l’intérêt général, chacun est désormais censé trier ses déchets, et cela en l’absence de tout mobile égoïste apparent. Entre Homo oeconomicus et Homo politicus apparaît ainsi une troisième figure : Homo ethicus, sujet « responsable » chargé à son échelle de contrebattre, par sa microvertu, des macrovices systémiques.
Sauf que cette nouvelle gouvernance éthique ne chasse pas l’autre, de type économique, qui s’impose à ces mêmes agents. Elle ne la supprime pas : elle se surimprime. Les mêmes individus, interpellés comme sujets éthiques, le sont toujours aussi, et intensément encore, en tant qu’agents économiques. Chacun doit gérer la tension que produisent ces injonctions contradictoires : être économiquement efficient mais écologiquement responsable.
La responsabilisation est aussi le nom de ce report de la contradiction dans la vie psychique des individus ; le nom d’une nouvelle figure de la conscience malheureuse, associée à une forme de gouvernement par le dilemme.
Pour l'intégralité : Comment les industriels ont abandonné le système de la consigne. Eh bien, recyclez maintenant !Par Grégoire Chamayou.
Re: Gilet jaune
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Modifié en dernier par rix le 05 sept. 2019 13:36, modifié 1 fois.
Pour les petits bourgeois de gauche, la réalité est fasciste, il convient donc de la nier jusqu'à l'absurde s'il le faut : le niveau monte, l'immigration est une chance pour la France, ill n'y a pas d'insécurité mais un sentiment d'insécurité....
Re: Gilet jaune
Je me pose une question.
Est-ce qu'il ne serait pas pertinent de profondément modifier le financement des campagnes. Là, vous parlez beaucoup des scrutins nationaux, mais c'est pareil pour les locaux, il y a, dans le coin, des personnes qui ont engagés des prêts personnels pour financer leurs campagnes municipales et c'est complètement anormal.
D'abord il est incompréhensible qu'une personne doive engager son patrimoine personnel dans une affaire comme celle-ci (ce qui est le cas aujourd'hui). Ensuite, il revient effectivement aux banques de "choisir" et le choix, contrairement à ce que nos amis complotistes laissent croire, ne se fait pas sur des critères politiques, mais financiers. Ce qui de facto privilégie ceux qui ont la surface financière qui va bien. Au passage, Je n'arrive pas à comprendre comment ceux qui braillent du souverainisme à longueur de journée, y compris ici, tout en ne voyant aucune objection à être financé par "une puissance étrangère" pour un scrutin français. Un lieu de culte qui ne serait pas catho ne peut pas être financé par des étrangers, mais une campagne, si: bravo la cohérence, les rigolos.
Ensuite, la règle est assez simple: le candidat désigne un mandataire qui est chargé d'exécuter les dépenses et de tenir la compta. En sachant que c'est loin d'être aussi simple que ça en a l'air. Cette compta elle est ensuite examinée par le CC ou la commission ad hoc pour la présidentielle. Il est important de noter que l'examen se fait sur pièce et sans capacité d'investigation. Donc ils doivent prononcer la conformité des comptes sur la base de ce qu'on leur donne: c'est ainsi que Bygmalion peut arriver; Donc première mesure, l'organe de contrôle doit pouvoir enquêter, ça parait logique.
Les comptes de campagne, c'est compliqué. D'abord parce que les dépenses peuvent être remontées jusqu'à 1 an, et donc, lorsque le mandataire est désigné (bien après), il doit déjà faire une compta rétrospective pour vérifier ce qui pourrait être a postériori imputé à la campagne, sachant que ça relève de l'intérprétation. Encore plus compliqué quand le candidat est sortant: ce qui a fait sauter les comptes "officiel" de Sarko en 2012, c'est que son mandataire avait estimé qu'un discours en fin d'année (Toulon ?), avant sa déclaration de candidature, était lié non pas à sa campagne, mais à sa fonction de Chef de l'Etat: dès lors, l'ensemble des coûts associés (déplacement, location, personnel, logistique) ont été ajoutés à ses comptesn, ce qui leur a fait dépasser le plafond (c'était avant l'autre dépassement). C'est là que ça devient compliqué: on peut aussi plaider la bonne foi du mandataire. Sur cette exemple, c'est plus compliqué car le mandataire avait été alerté avant la finalisation des comptes que ce déplacement pourrait poser problème, le choix avait été fait d'ignorer l'avertissement.
Mais dans d'autres cas, c'est plus difficile de savoir ce qui relève d'une dépense privée, d'une dépense de campagne ou d'une dépense de fonction. Le candidat qui paye son parcmètre pour aller à la radio, le parcmètre, c'est une dépense de campagne ou pas ? S'il va voir sa mère-grand qui habite près du studio sans repasser à sa voiture, donc sur une visite privée, faut-il proratiser le parcmètre ? ça a l'air trivial comme ça, mais les mandataires, ils se posent la question chaque jour avec le risque qu'implique une interprétation de bonne foi qui serait par la suite déjugée.
Autre cas à la con. Le candidat passe récupérer lui-même à l'imprimerie les tracts et les règles avec son chéquier: bim ! il est en faute, c'est du financement illégal. Seul le mandataire peut régler une dépense (ce qui repose la question du parcmètre) et aucune dépense non-réglée par le mandataire ne peut être intégrée. Autre question compliquée, les "frais de représentation". le coiffeur, le costume, c'est de la dépense de campagne ou pas ? si c'es le cas, est-ce qu'on peut utiliser le costume au mariage de la cousine aussi ? Sachant que pour le coiffeur, c'est tout de suite vu.
Après l'élection, le mandataire transmets l'ensemble des comptes qui sont, à ce moment, la principale cause d'annulation de l'élection, en particulier pour les locales. A chaque municipales, législtaives, cantonales etc, des comptes sont invalidés, annulant l'élection, des fois pour des erreurs d'interprétation ou de méconnaissance mais qui doivent être remarquées car elles peuvent aussi relever de la fraude. Et, la règle est connue pour les présidentielles, si les comptes sont validés sur pièce (donc sans enquête sur leur sincérité) et que les plafonds sont respectés après réimputations éventuelles de certaines dépenses (c'est très fréquent et sur des montants "raisonnables", ça n'a pas aucune incidence tant que les plafonds ne sont pas atteints), et que le candidat a fait au moins 5%, il est remboursés de frais de campagne.
Si au final, c'est l'Etat qui paye via le remboursement, ne pourrait-on pas plutôt imaginer que plutôt que nommer un mandataire qui paye puis attendre le remboursement, ce soit plutôt l'Etat qui paye directement ? Le travail du mandataire serait effectué par un agent du CC (ce qui n'existe quaisment pas aujourd'hui, au passage) ou des préfectures pour les élections locales qui, en plus de payer, pourrait en même temps faire le travail de vérification de la bonne imputation à la campagne. Ainsi, il perçoit également les recettes qui sont également vérifiées au fur et à mesure. Ainsi, dépenses et recettes sont contrôlées en temps réel, il devient beaucoup plus difficile d'avoir des flux financiers occultes et Bygmalion devient impossible. De plus, le financement de la campagne ne repose plus sur la capacité du candidat à convaincre une banque ou sur sa fortune personnelle. Dans ces conditions, il faudrait même imaginer que els candidats disposent tous du même budget, quitte à abaisser les plafonds.
Avantages :
Egalité des candidats devant les budgets
Disparition des banques et puissances étrangères
Vérification en temps réel des dépenses et des recettes
Connaissance par les instances de contrôle et de Tracfin en temps réel des flux
Inconvénient :
Il parait difficile de mettre en place ce système sans réfléchir aux modalités de "sélection" des candidats. Soit dit en passant, le système actuel pour la présidentielle est complètement dépassé.
Enfin tout ça pour dire que le financement de campagne, c'est un peu plus compliqué que ce qu'on entend à longueur de journée.
Est-ce qu'il ne serait pas pertinent de profondément modifier le financement des campagnes. Là, vous parlez beaucoup des scrutins nationaux, mais c'est pareil pour les locaux, il y a, dans le coin, des personnes qui ont engagés des prêts personnels pour financer leurs campagnes municipales et c'est complètement anormal.
D'abord il est incompréhensible qu'une personne doive engager son patrimoine personnel dans une affaire comme celle-ci (ce qui est le cas aujourd'hui). Ensuite, il revient effectivement aux banques de "choisir" et le choix, contrairement à ce que nos amis complotistes laissent croire, ne se fait pas sur des critères politiques, mais financiers. Ce qui de facto privilégie ceux qui ont la surface financière qui va bien. Au passage, Je n'arrive pas à comprendre comment ceux qui braillent du souverainisme à longueur de journée, y compris ici, tout en ne voyant aucune objection à être financé par "une puissance étrangère" pour un scrutin français. Un lieu de culte qui ne serait pas catho ne peut pas être financé par des étrangers, mais une campagne, si: bravo la cohérence, les rigolos.
Ensuite, la règle est assez simple: le candidat désigne un mandataire qui est chargé d'exécuter les dépenses et de tenir la compta. En sachant que c'est loin d'être aussi simple que ça en a l'air. Cette compta elle est ensuite examinée par le CC ou la commission ad hoc pour la présidentielle. Il est important de noter que l'examen se fait sur pièce et sans capacité d'investigation. Donc ils doivent prononcer la conformité des comptes sur la base de ce qu'on leur donne: c'est ainsi que Bygmalion peut arriver; Donc première mesure, l'organe de contrôle doit pouvoir enquêter, ça parait logique.
Les comptes de campagne, c'est compliqué. D'abord parce que les dépenses peuvent être remontées jusqu'à 1 an, et donc, lorsque le mandataire est désigné (bien après), il doit déjà faire une compta rétrospective pour vérifier ce qui pourrait être a postériori imputé à la campagne, sachant que ça relève de l'intérprétation. Encore plus compliqué quand le candidat est sortant: ce qui a fait sauter les comptes "officiel" de Sarko en 2012, c'est que son mandataire avait estimé qu'un discours en fin d'année (Toulon ?), avant sa déclaration de candidature, était lié non pas à sa campagne, mais à sa fonction de Chef de l'Etat: dès lors, l'ensemble des coûts associés (déplacement, location, personnel, logistique) ont été ajoutés à ses comptesn, ce qui leur a fait dépasser le plafond (c'était avant l'autre dépassement). C'est là que ça devient compliqué: on peut aussi plaider la bonne foi du mandataire. Sur cette exemple, c'est plus compliqué car le mandataire avait été alerté avant la finalisation des comptes que ce déplacement pourrait poser problème, le choix avait été fait d'ignorer l'avertissement.
Mais dans d'autres cas, c'est plus difficile de savoir ce qui relève d'une dépense privée, d'une dépense de campagne ou d'une dépense de fonction. Le candidat qui paye son parcmètre pour aller à la radio, le parcmètre, c'est une dépense de campagne ou pas ? S'il va voir sa mère-grand qui habite près du studio sans repasser à sa voiture, donc sur une visite privée, faut-il proratiser le parcmètre ? ça a l'air trivial comme ça, mais les mandataires, ils se posent la question chaque jour avec le risque qu'implique une interprétation de bonne foi qui serait par la suite déjugée.
Autre cas à la con. Le candidat passe récupérer lui-même à l'imprimerie les tracts et les règles avec son chéquier: bim ! il est en faute, c'est du financement illégal. Seul le mandataire peut régler une dépense (ce qui repose la question du parcmètre) et aucune dépense non-réglée par le mandataire ne peut être intégrée. Autre question compliquée, les "frais de représentation". le coiffeur, le costume, c'est de la dépense de campagne ou pas ? si c'es le cas, est-ce qu'on peut utiliser le costume au mariage de la cousine aussi ? Sachant que pour le coiffeur, c'est tout de suite vu.
Après l'élection, le mandataire transmets l'ensemble des comptes qui sont, à ce moment, la principale cause d'annulation de l'élection, en particulier pour les locales. A chaque municipales, législtaives, cantonales etc, des comptes sont invalidés, annulant l'élection, des fois pour des erreurs d'interprétation ou de méconnaissance mais qui doivent être remarquées car elles peuvent aussi relever de la fraude. Et, la règle est connue pour les présidentielles, si les comptes sont validés sur pièce (donc sans enquête sur leur sincérité) et que les plafonds sont respectés après réimputations éventuelles de certaines dépenses (c'est très fréquent et sur des montants "raisonnables", ça n'a pas aucune incidence tant que les plafonds ne sont pas atteints), et que le candidat a fait au moins 5%, il est remboursés de frais de campagne.
Si au final, c'est l'Etat qui paye via le remboursement, ne pourrait-on pas plutôt imaginer que plutôt que nommer un mandataire qui paye puis attendre le remboursement, ce soit plutôt l'Etat qui paye directement ? Le travail du mandataire serait effectué par un agent du CC (ce qui n'existe quaisment pas aujourd'hui, au passage) ou des préfectures pour les élections locales qui, en plus de payer, pourrait en même temps faire le travail de vérification de la bonne imputation à la campagne. Ainsi, il perçoit également les recettes qui sont également vérifiées au fur et à mesure. Ainsi, dépenses et recettes sont contrôlées en temps réel, il devient beaucoup plus difficile d'avoir des flux financiers occultes et Bygmalion devient impossible. De plus, le financement de la campagne ne repose plus sur la capacité du candidat à convaincre une banque ou sur sa fortune personnelle. Dans ces conditions, il faudrait même imaginer que els candidats disposent tous du même budget, quitte à abaisser les plafonds.
Avantages :
Egalité des candidats devant les budgets
Disparition des banques et puissances étrangères
Vérification en temps réel des dépenses et des recettes
Connaissance par les instances de contrôle et de Tracfin en temps réel des flux
Inconvénient :
Il parait difficile de mettre en place ce système sans réfléchir aux modalités de "sélection" des candidats. Soit dit en passant, le système actuel pour la présidentielle est complètement dépassé.
Enfin tout ça pour dire que le financement de campagne, c'est un peu plus compliqué que ce qu'on entend à longueur de journée.
Tel est mon bon plaisir.
- François de Malherbe
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- Enregistré le : 10 janv. 2006 19:13
- Localisation : La Commune.
Re: Gilet jaune
Tu pourras directement aller apostropher François Ruffin le dimanche 24 février à Hérouville pour l'avant-premier de son film documentaire (réalisé par Gilles Perret) "J'veux du soleil" (16h00).ajacques a écrit :J'ai pas dis que les autres étaient mieux, mais au moins ils avancent à visage découvert ...NickP a écrit :T'as raison Ajacques.
Si y en a bien un qui n'est pas spontané et qui n'est pas sincère, c'est bien Ruffin.
C'est odieux de se faire sa pub sur le malheur des vraies gens, comme nous répètent tous les ministres de notre gentil gouvernement.
L'histoire n'est pas la science du passé, mais la science des hommes dans le temps.
Re: Gilet jaune
Je sais pas ce que va donner ce film, mais "merci patron!" ça m'a filé la gerbe. Parce qu'à part se faire effectivement de la pub en manipulant les personnes, d'un bord comme de l'autre, j'ai pas compris l’intérêt du film. Si ce n'est de montrer les moyens de pression qu'ont les médias....
Re: Gilet jaune
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Modifié en dernier par rix le 05 sept. 2019 13:40, modifié 2 fois.
Pour les petits bourgeois de gauche, la réalité est fasciste, il convient donc de la nier jusqu'à l'absurde s'il le faut : le niveau monte, l'immigration est une chance pour la France, ill n'y a pas d'insécurité mais un sentiment d'insécurité....