[J22]Stresser Payet
Re: [J22]Stresser Payet
Merci Guigui.
Je regarde Nantes-Bordeaux.
Bah franchement, Nantes c'est pas vraiment plus bandant que nous.
Et ils sont cinquièmes...
Je regarde Nantes-Bordeaux.
Bah franchement, Nantes c'est pas vraiment plus bandant que nous.
Et ils sont cinquièmes...
Seul, on va plus vite. Ensemble, on va plus loin.
Re: [J22]Stresser Payet
Abidbol a écrit :nico2caen a écrit :Aleph a écrit :Le maintien sera très compliqué à avoir avec ce genre de prestation et malheureusement, à part contre Lyon où il y a défaite derrière, je ne retiens aucun match référence.
Faut arrêter les discours aussi alarmistes. Si on était si nuls, on serait pas 10èmes et on aurait pas déjà 27 points ! On est pas beau à voir jouer cette année c'est clair, mais une bonne défense aide mieux qu'une bonne attaque pour se maintenir. Il nous faut encore 15 points pour être tranquilles, soit 5 victoires en 16 matchs. Ça devrait pouvoir le faire sans trop de souci.
Yep.
Parce que l'année dernière, on s'emmerdait tout autant, mais en prenant 2 buts par match.
Sur l'intégralité de la saison, on se faisait moins chier quand même. Les 3 buts contre Lyon, Dijon, Lorient, les 2 magnifiques contre Bastia, les 2 à Nice... Globalement c'était pas mal offensivement avant que Garande ne décrète que le milieu de terrain ne sert à rien.
Par contre oui, on avait une défense qui ne respectait pas toutes les bases du foot qu'on apprend enfant, et c'est tout aussi moche en effet.
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Re: [J22]Stresser Payet
globule_smc a écrit :
On peut être limité par le niveau technique, athlétique des joueurs. Mais tu as le droit d’avoir des intentions dans le jeu.
Amiens, Strasbourg, Troyes ont sûrement montré plus de choses dans le jeu que nous cette saison.
Et dijon et angers qui ont aussi des budgets inférieurs à nous.
Il n'y aucune excuse pour expliquer cette pauvreté offensive à part constater que nous avons le plus mauvais entraineur de Ligue 1 de tous les temps.
Re: [J22]Stresser Payet
SM Caen : souffle court, ressources manquantes
[hide]Battu logiquement par Marseille (0-2) vendredi au stade d'Ornano, encore impuissant devant, le SM Caen a plié physiquement avec l’enchaînement des matches. L'équipe normande s’use à défendre en bloc et tourne peu, aussi.
On ne va pas refaire le monde du Stade Malherbe après une défaite contre l’équipe de L1 la plus performante derrière le PSG ces dernières semaines, une seule défaite en championnat depuis la mi-septembre (à Lyon mi-décembre), qui a enchaîné en Normandie une 6e victoire lors de ses 6 derniers matches.
Ce n’était certes pas un grand OM, surtout en première période. Mais un OM suffisamment sûr de sa force pour ne pas trembler face à une équipe à l’animation offensive aussi limitée et prévisible que Caen, qui n’a gagné que deux matches (les deux contre Bordeaux) depuis début novembre et perdu 3 de ses 4 dernières sorties au stade d’Ornano.
« On a répondu à leur défi sur les longs ballons, en les maintenant loin de notre ligne des 16,50 m avec une bonne hauteur de bloc », a dit Rudi Garcia, le coach olympien, qui comme la plupart de ses collègues a bien compris maintenant la recette pour bloquer un SMC en déficit d'idées.
Deux absences lourdes
Deux tirs cadrés… par Sankoh et Djiku. Un Rodelin amorphe, déporté à gauche pour les besoins de l’occupation sur les côtés : rien de nouveau, Malherbe n’arrive pas à lier cohérence défensive du bloc et capacité de projection efficace, quelles que soient les variations tactiques (4-4-2 contre Lille, 4-4-2 en losange à Bordeaux, 4-1-4-1 contre l’OM). « Il y avait sûrement mieux à faire en première période, notamment dans la profondeur, mais on était un peu timoré avec le ballon, a lancé Patrice Garande. Derrière, on savait que l’OM repartirait fort, et c’est devenu très compliqué après le penalty concédé à la 54’. Techniquement et physiquement, on a fini par se faire punir. »
Rien de scandaleux. Juste le constat d’une équipe de deuxième partie de tableau incapable de se relever d’une erreur individuelle (la faute de Bessat sur le penalty), à bout de souffle lors du 3e match en 6 jours.
D’abord tourné vers l’idée de solidité et de sacrifice pour que la défense tienne, Malherbe finit logiquement par payer les gros efforts de tous. Et ce mouvement vers l’arrière se fait forcément au détriment de l’attaque.
15 joueurs « utiles », et encore...
L’équipe tourne peu aussi, et la moindre absence d’un joueur clé (Mbengue et encore plus Aït Bennasser) s’avère très difficile à surmonter.
Patrice Garande a beau avoir 30 joueurs sous la main, il n’en utilise réellement qu’une petite quinzaine, parce qu’il considère le reste pas au niveau d’exigence requis. Et encore, sur les 15, il n’est guère satisfait du rendement d’un Kouakou, d’un Repas ou d’un Bazile, qu’il ne parvient pas à faire progresser.
L’exemple de Féret, dont le poids des années ne lui permet plus d’enchaîner les matches tous les trois jours, est aussi symbolique.
Le coach ne fait pas juste plaisir au capitaine : à ce jour, il considère surtout que Peeters, son remplaçant le plus naturel passé du banc à la tribune, n’est pas à même d’apporter ce que Féret peut, dans la manière dont il veut voir jouer son équipe. « On ne va pas rentrer dans les détails des joueurs, si je fais peu tourner c’est parce que je pense aligner la meilleure équipe possible, a-t-il soumis vendredi soir, un peu agacé. Comme tous les entraîneurs, je fais des choix en fonction de ce que je vois à l’entraînement, lors des oppositions, avec la réserve, tous les jours ! Ceux alignés étaient de mon point de vue les plus aptes à jouer ce match. »
Garande ne se dit pas non plus « abattu » après ce revers logique. En gagnant à Bordeaux mardi, Malherbe avait pu souffler un peu dans la course au maintien.
Il reste 16 matches, un rendez-vous à Saint-Etienne samedi prochain, un attaquant à recruter d’ici la fin du mois pour bousculer un peu l’affaire, et l’équivalent de 5 victoires à aller chercher pour se sauver. Défi a priori accessible pour ce Stade Malherbe-là, dans un championnat où les équipes en sursis ne manquent pas.[/hide]
[hide]Battu logiquement par Marseille (0-2) vendredi au stade d'Ornano, encore impuissant devant, le SM Caen a plié physiquement avec l’enchaînement des matches. L'équipe normande s’use à défendre en bloc et tourne peu, aussi.
On ne va pas refaire le monde du Stade Malherbe après une défaite contre l’équipe de L1 la plus performante derrière le PSG ces dernières semaines, une seule défaite en championnat depuis la mi-septembre (à Lyon mi-décembre), qui a enchaîné en Normandie une 6e victoire lors de ses 6 derniers matches.
Ce n’était certes pas un grand OM, surtout en première période. Mais un OM suffisamment sûr de sa force pour ne pas trembler face à une équipe à l’animation offensive aussi limitée et prévisible que Caen, qui n’a gagné que deux matches (les deux contre Bordeaux) depuis début novembre et perdu 3 de ses 4 dernières sorties au stade d’Ornano.
« On a répondu à leur défi sur les longs ballons, en les maintenant loin de notre ligne des 16,50 m avec une bonne hauteur de bloc », a dit Rudi Garcia, le coach olympien, qui comme la plupart de ses collègues a bien compris maintenant la recette pour bloquer un SMC en déficit d'idées.
Deux absences lourdes
Deux tirs cadrés… par Sankoh et Djiku. Un Rodelin amorphe, déporté à gauche pour les besoins de l’occupation sur les côtés : rien de nouveau, Malherbe n’arrive pas à lier cohérence défensive du bloc et capacité de projection efficace, quelles que soient les variations tactiques (4-4-2 contre Lille, 4-4-2 en losange à Bordeaux, 4-1-4-1 contre l’OM). « Il y avait sûrement mieux à faire en première période, notamment dans la profondeur, mais on était un peu timoré avec le ballon, a lancé Patrice Garande. Derrière, on savait que l’OM repartirait fort, et c’est devenu très compliqué après le penalty concédé à la 54’. Techniquement et physiquement, on a fini par se faire punir. »
Rien de scandaleux. Juste le constat d’une équipe de deuxième partie de tableau incapable de se relever d’une erreur individuelle (la faute de Bessat sur le penalty), à bout de souffle lors du 3e match en 6 jours.
D’abord tourné vers l’idée de solidité et de sacrifice pour que la défense tienne, Malherbe finit logiquement par payer les gros efforts de tous. Et ce mouvement vers l’arrière se fait forcément au détriment de l’attaque.
15 joueurs « utiles », et encore...
L’équipe tourne peu aussi, et la moindre absence d’un joueur clé (Mbengue et encore plus Aït Bennasser) s’avère très difficile à surmonter.
Patrice Garande a beau avoir 30 joueurs sous la main, il n’en utilise réellement qu’une petite quinzaine, parce qu’il considère le reste pas au niveau d’exigence requis. Et encore, sur les 15, il n’est guère satisfait du rendement d’un Kouakou, d’un Repas ou d’un Bazile, qu’il ne parvient pas à faire progresser.
L’exemple de Féret, dont le poids des années ne lui permet plus d’enchaîner les matches tous les trois jours, est aussi symbolique.
Le coach ne fait pas juste plaisir au capitaine : à ce jour, il considère surtout que Peeters, son remplaçant le plus naturel passé du banc à la tribune, n’est pas à même d’apporter ce que Féret peut, dans la manière dont il veut voir jouer son équipe. « On ne va pas rentrer dans les détails des joueurs, si je fais peu tourner c’est parce que je pense aligner la meilleure équipe possible, a-t-il soumis vendredi soir, un peu agacé. Comme tous les entraîneurs, je fais des choix en fonction de ce que je vois à l’entraînement, lors des oppositions, avec la réserve, tous les jours ! Ceux alignés étaient de mon point de vue les plus aptes à jouer ce match. »
Garande ne se dit pas non plus « abattu » après ce revers logique. En gagnant à Bordeaux mardi, Malherbe avait pu souffler un peu dans la course au maintien.
Il reste 16 matches, un rendez-vous à Saint-Etienne samedi prochain, un attaquant à recruter d’ici la fin du mois pour bousculer un peu l’affaire, et l’équivalent de 5 victoires à aller chercher pour se sauver. Défi a priori accessible pour ce Stade Malherbe-là, dans un championnat où les équipes en sursis ne manquent pas.[/hide]
Seul, on va plus vite. Ensemble, on va plus loin.
Re: [J22]Stresser Payet
nico2caen a écrit :Wallace a écrit :On demande pas grand chose nico en fait.. Juste qu'on prenne un peu plus de plaisir à regarder Malherbe. Et je pense qu'il y a quelques coachs qui sont capable de nous "transformer" en une équipe un peu plus joueuse.
Je suis d'accord. Mais attention aux lendemains qui déchantent. On a plein de cas de changements d’entraîneurs intéressants sur le papier, et qui se sont mal terminés : Hantz à Sochaux, Fernandez à Montpellier, Renard à Lille. Sans compter que nos dirigeants sont tout à fait capables de nommer Huriez, ou d'aller chercher Jean-Marc Furlan.
Furlan à Troyes , il avait bonne réputation , non ?
Bon, ça descendait souvent en L2 mais c 'est accesoire
Re: [J22]Stresser Payet
nico2caen a écrit :Wallace a écrit :On demande pas grand chose nico en fait.. Juste qu'on prenne un peu plus de plaisir à regarder Malherbe. Et je pense qu'il y a quelques coachs qui sont capable de nous "transformer" en une équipe un peu plus joueuse.
Je suis d'accord. Mais attention aux lendemains qui déchantent. On a plein de cas de changements d’entraîneurs intéressants sur le papier, et qui se sont mal terminés : Hantz à Sochaux, Fernandez à Montpellier, Renard à Lille. Sans compter que nos dirigeants sont tout à fait capables de nommer Huriez, ou d'aller chercher Jean-Marc Furlan.
Pour Renard, je suis ok.. Mais Jean Fernandez, je savais déjà dès le début que ça n'allait pas marcher à Montpellier. Hantz, je trouve qu'il a toujours fait un bon boulot partout où il est passé, c'est bien ce genre de coach que j'accueillerais avec plaisir.
Après, on peut toujours des coups avec un mec comme Ludovic Batelli, je ne serais pas contre non plus.
Re: [J22]Stresser Payet
Lui ou un autre de toute façon ...
Ca dépendra du "matos " joueurs mis à disposition
Ca dépendra du "matos " joueurs mis à disposition
- Republic V
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Re: [J22]Stresser Payet
Guigui a écrit :Republic V a écrit :udinese a écrit :Garande, démission ! D'ailleurs, l'interview de Fortin avant le match ne présage pas d'un prolongement de son contrat...Wallace a écrit :On est 10ème et on a le jeu le plus pourri de L1, tout va bien.
Qu'est-ce que Fortin a dit avant le match ?
J'ai capturé le moment complet en vidéo :
Tweet: https://twitter.com/WeAreMalherbe/status/954762153885618177
Merci Guigui.
Je ne sais pas trop quoi en penser, toutes les options restent ouvertes avec son couplet sur la lassitude. Une prolongation de Garande est parfaitement compatible avec le souci de la lassitude des joueurs, étant donné que l'effectif sera forcément renouvelé la saison prochaine en raison des multiples fins de contrat (et départs à la retraite ?).